TĂ©lĂ©chargezce jeu sur votre smartphone et faites exploser votre cerveau. Cette page de rĂ©ponses vous aidera Ă  passer le niveau nĂ©cessaire rapidement Ă  tout moment. Ci-dessous vous trouvez la rĂ©ponse pour Terrain oĂč les avions dĂ©collent ou atterrissent : Terrain oĂč les avions dĂ©collent ou atterrissent . Solution: AÉRODROME. Les autres questions que vous pouvez trouver ici Nous faisons tous assez souvent une verticale terrain », au-dessus d’un aĂ©rodrome, contrĂŽlĂ© ou non. Mais savons-nous exactement de quoi il s’agit, quel est son objectif et surtout Ă  quelle hauteur elle se fait. Car, bien qu’il y ait une dĂ©finition Ă©crite de ce que c’est, sa hauteur n’est dĂ©finie nulle part. Quand le terrain est contrĂŽle, c’est facile; en gĂ©nĂ©ral c’est le contrĂŽleur qui indique au pilote de se reporter Ă  la verticale du terrain Ă  x pieds, et tout ce qu’il reste Ă  faire pour le pilote c’est de bien viser la verticale du terrain. Mais quand ce n’est pas contrĂŽlĂ©, cela devient compliquĂ© en l’absence de l’écrit et en prĂ©sence des interprĂ©tations diverses et variĂ©es ». Car deux pilotes ayant des notions diffĂ©rentes de hauteur de verticale de terrain et qui y arrivent en mĂȘme temps peuvent rencontrer des difficultĂ©s et peuvent causer des accidents. L’objectif annoncĂ© pour tous les pilotes est donc d’arriver dans la zone d’un aĂ©rodrome non-controlĂ© et intĂ©grer le circuit publiĂ© afin d’atterrir dans les meilleures conditions. Pour comprendre la meilleure mĂ©thode Ă  adopter, regardons les Ă©lĂ©ments d’une intĂ©gration. CIRCUIT TYPE En rĂšgle gĂ©nĂ©rale les circuits d’aĂ©rodrome n’ont pas de dimensions strictement dĂ©finies. Il incombe au pilote commandant de bord d’adapter le trajet en fonction des possibilitĂ©s manoeuvriĂšres de son aĂ©ronef et des circonstances afin de ne pas gĂȘner les autres aĂ©ronefs Ă©voluant dans la circulation d’aĂ©rodrome ou passant Ă  proximitĂ©. Toutefois, afin de limiter les nuisances phoniques, des consignes particuliĂšres peuvent prĂ©voir certaines zones dont il est recommandĂ© d’éviter le survol; de respecter, dans la mesure du possible, le circuit d’aĂ©rodrome quand, Ă  titre exceptionnel, il est publiĂ© dans son intĂ©gralitĂ©. Dans la mesure oĂč des dispositions diffĂ©rentes ne figurent pas dans les consignes particuliĂšres, le pilote commandant de bord doit, lorsqu’il Ă©volue dans un circuit d’aĂ©rodrome effectuer le vent arriĂšre Ă  300 mĂštres 1000 pieds AAL lorsque la hauteur des nuages le permet ; une hauteur diffĂ©rente peut ĂȘtre utilisĂ©e pour des besoins de formation au pilotage, Ă  condition de ne pas gĂȘner les autres usagers de l’aĂ©rodrome ; effectuer les virages par la gauche ; en cas de remise de gaz, manoeuvrer de façon Ă  ne pas gĂȘner les autres aĂ©ronefs Ă©voluant dans la circulation d’aĂ©rodrome. L’INTEGRATION L’intĂ©gration dans un circuit d’aĂ©rodrome doit se faire en fonction des aĂ©ronefs qui suivent le dit circuit mais aussi des aĂ©ronefs qui peuvent suivre les autres circuits d’aĂ©rodrome. Sur un aĂ©rodrome non contrĂŽlĂ© un aĂ©ronef appartenant Ă  la circulation d’aĂ©rodrome qui connaĂźt la prĂ©sence d’un aĂ©ronef en vol IFR Ă  l’arrivĂ©e doit, Ă  moins d’entente prĂ©alable entre les commandants de bord, manoeuvrer de façon Ă  ne pas compromettre la poursuite de l’approche et l’atterrissage de l’aĂ©ronef en vol IFR. Cette disposition ne s’applique que si l’aĂ©ronef en vol IFR effectue une approche finale aux instruments pour un atterrissage direct sur la piste en service ou lorsque l’approche finale est suivie d’une manoeuvre Ă  vue imposĂ©e MVI. AUTO-INFORMATION Des comptes rendus d’auto-information doivent ĂȘtre transmis par les aĂ©ronefs dotĂ©s d’un Ă©quipement de radiocommunication lorsqu’ils Ă©voluent dans la circulation d’aĂ©rodrome en l’absence d’organisme de la circulation aĂ©rienne sur l’aĂ©rodrome. DISPOSITIONS APPLICABLES POUR LES AERONEFS EVOLUANT SELON LES REGLES DE VOL A VUE VFR Sur un aĂ©rodrome autre que contrĂŽlĂ© ou AFIS, le pilote commandant de bord doit procĂ©der lui-mĂȘme Ă  l’évaluation des paramĂštres au dĂ©part, avant de quitter l’aire de trafic ; Ă  l’arrivĂ©e, avant de s’intĂ©grer dans la circulation d’aĂ©rodrome, en procĂ©dant Ă  l’examen de l’aĂ©rodrome. Cet examen doit ĂȘtre effectuĂ©, sauf impossibilitĂ©, Ă  une hauteur supĂ©rieure au plus haut des circuits d’aĂ©rodrome et doit notamment porter sur l’aire Ă  signaux, la manche Ă  air, l’état de la surface de l’aire de manoeuvre afin de dĂ©terminer la piste ou l’aire d’atterrissage Ă  utiliser et s’assurer que l’usage de l’aĂ©rodrome ne prĂ©sente pas de danger apparent. Un pilote commandant de bord peut se dispenser de l’examen de l’aĂ©rodrome Ă  l’arrivĂ©e lorsqu’il a pris connaissance de la piste en service en exploitant les messages d’auto information transmis par les aĂ©ronefs Ă©voluant dans la circulation d’aĂ©rodrome; lorsqu’il a dĂ©jĂ  connaissance du vent et des signaux pouvant ĂȘtre disposĂ©s sur l’aire Ă  signaux et sur l’aire de manoeuvre REGLES D’INTEGRATION DANS LA CIRCULATION D’AERODROME NON-CONTROLE AprĂšs avoir pris connaissance des paramĂštres en radiotĂ©lĂ©phonie ou aprĂšs les avoir Ă©valuĂ©s lui mĂȘme, et avoir observĂ© la position des autres aĂ©ronefs Ă©voluant dans la circulation d’aĂ©rodrome, le pilote commandant de bord doit venir s’intĂ©grer en dĂ©but de vent arriĂšre Ă  la hauteur du circuit d’aĂ©rodrome en assurant une sĂ©paration visuelle avec les aĂ©ronefs dĂ©jĂ  engagĂ©s dans la circulation d’aĂ©rodrome et en leur laissant la prioritĂ© de passage. TOURS DE PISTE Pour la plupart des aĂ©rodromes en France, la hauteur du tour de piste TDP est publiĂ©e sur la carte VAC de la SIA. En gĂ©nĂ©ral, cette hauteur est de 1000â€Č sol ou AGL=above ground level mais celle-ci peut changer d’un aĂ©rodrome Ă  l’autre. Quelques exemples de hauteur de tour de piste en feet du sol et entre parenthĂšse en feet QNH Persan QFE=700â€Č QNH=800â€Č Pontoise 1000â€Č QNH=1300â€Č Plessis-Bellevile 600â€Č QNH=1000â€Č EtrĂ©pagny 700â€Č QNH=1000â€Č Toussus-le-Noble 800â€Č QNH=1300â€Č Cannes- Mandelieu 1000â€Č QNH=1000â€Č niveau mer RECAPITULATIF DE LA DEFINITION D’UNE VERTICALE Faire la verticale » d’un terrain non-contrĂŽlĂ© doit permettre au pilote d’intĂ©grer le circuit publiĂ© du terrain Ă  partir de dĂ©but de l’étape de vent arriĂšre, aprĂšs s’ĂȘtre rendu compte de la direction du vent et par consĂ©quent la piste en service de l’aire de signaux et par consĂ©quent les consignes spĂ©ciales des autres avions dĂ©jĂ  en tour de piste et par consĂ©quent la gĂȘne qui peut occasionner et ce en toute sĂ©curitĂ© pour lui et pour les autres. Cette hauteur n’est pas dĂ©finie dans les textes je ne l’ai pas trouvĂ©, et d’autres personnes non plus. La rĂšgle dit une hauteur suffisante au-dessus du tour de piste pour assurer la sĂ©curitĂ© » en tenant compte des contraintes qui peuvent exister, notamment la prĂ©sence des nuages et le plafond de l’espace oĂč se trouve le terrain exemple PERSAN-BEAUMONT. Cette hauteur gĂ©nĂ©ralement admise est de 500â€Č au-dessus du tour de piste. Bien Ă©videmment c’est la hauteur minimale, elle peut ĂȘtre plus Ă©levĂ©e si on le souhaite ou s’il y a un intĂ©rĂȘt. Par exemple, s’il y avait un peu de relief autour, on pourrait monter de 300â€Č de plus. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les tours de piste en France se font Ă  une hauteur de 1000â€Č sol. Donc, une verticale saine » doit se faire, en l’absence d’autres restrictions Ă  1500â€Č sol. C’est le cas de Pontoise LFPT oĂč cela donne 1500â€Č sol ou 1800â€Č QNH. Plessis-Bellevile se trouve dans zone de Paris oĂč le plafond est Ă  1500â€Č QNH donc Ă  1100â€Č du sol, car l’altitude de l’AD de Plessis-Belleville est de 387â€Č. La VAC de LFPP indique le tour de piste Ă  600â€Č seulement du sol. Ajoutez-y 500â€Č et on se trouve au plafond fixĂ©. Ce cas de figure oĂč le TDP est particuliĂšrement bas Ă  Plessis est possible car tout autour du terrain il y a des champs et pas d’obstacles ni d’habitations. Le cas de Persan-Beaumont est encore plus torturĂ© car l’altitude du terrain est basse au-dessus plane le plafond de Creil de 1200â€Č QNH 1050â€Č sol tout autour se trouvent des habitations Ă  Ă©viter il y a deux pistes en parallĂšle qui augmentent les risques En mettant le tour de piste Ă  700â€Č sol, l’administration a dĂ» vouloir trouver un compromis. La verticale ne peut se faire qu’au maximum 1050â€Č sol, ce qui est seulement 350â€Č au-dessus du tour de piste. Cette marge est assez juste pour exiger un niveau maximal de sĂ©curitĂ© selon les critĂšres dĂ©finis ci-dessus. PAr exemple, il peut y avoir des pilotes au-dessus de 700â€Č sol en voulant Ă©viter un avion dĂ©collant en parallĂšle Ă  sa droite ou Ă  sa gauche. Je site un de mes instructeurs prĂ©fĂ©rĂ©s je prĂ©fĂšre me prendre une remarque pour 100â€Č mangĂ©s Ă  Creil pendant 5 secondes plutĂŽt que d’emplafonner 1/1000Ăš de seconde Ă  950â€Č un jeune qui vient d’ĂȘtre lĂąchĂ© ». CONCLUSION en gĂ©nĂ©rale, verticale 500â€Č au-dessus du tour de piste Ă  Persan, verticale Ă  1200â€Č QNH et pas un feet de moins. REFERENCES SIA Édition 12/03/2009, Jean-Pierre Jacquemin FI-LFPT, Jean Boully FI-LFPA. Post Views 2 911 Étiquettes AVIATION, Aviation GĂ©nĂ©rale, INFO TECHNIQUE, NOUVELLES, NOUVELLES DE L'AVIATION GENERALE, VOLETS, VOLETS10, Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© le mardi, 19 mai 2009 Ă  1 h 09 min et cataloguĂ© sous INFO TECHNIQUE. Vous pouvez suivre les rĂ©ponses Ă  cet article Ă  travers RSS feed. Vous pouvez laisser une rĂ©ponse, ou retracer depuis votre site.
Pourquoil’avion dĂ©colle face au vent ? Les avions font toujours face au vent lorsqu’ils atterrissent et dĂ©collent. Cette rĂšgle rĂ©duit leur vitesse au minimum Ă  l’atterrissage et sĂ©curise leur portance au dĂ©collage. Ainsi, lors de la construction d’un aĂ©roport, les pistes sont toujours montĂ©es en fonction des vents dominants !
MIKOLAYIV, Ukraine C'est l'agitation des jours de premiĂšre au théùtre d'art dramatique de MykolaĂŻv, en Ukraine on y a rejouĂ© jeudi pour la premiĂšre fois depuis le dĂ©but de la guerre, dans un abri sous-terrain, pour Ă©chapper aux bombes qui touchent la ville quotidiennement. Accueillant les spectateurs, faisant visiter les locaux et s'assurant des derniers dĂ©tails techniques, le directeur artistique Artiom Svytsoun, 41 ans, est au four et au moulin. C'est lui qui a ƓuvrĂ© pour que rouvre le théùtre. GrĂące Ă  un fonds d'aide europĂ©en, son Ă©quipe a eu deux mois pour transformer un abri, situĂ© quatre mĂštres sous le sol, en une petite salle de 35 places aux murs blancs irrĂ©guliers recouverts d'une fresque rappelant le théùtre antique. Nous avons besoin de ce lieu pour combattre nous aussi sur le front culturel», raconte-t-il sur la minuscule scĂšne, capable d'accueillir seulement une poignĂ©e d'acteurs et un dĂ©cor minimaliste. C'est une forme de 'thĂ©rapie par l'art' pour les gens qui sont restĂ©s Ă  MykolaĂŻv et ont besoin d'attention». Port stratĂ©gique du sud de l'Ukraine, MykolaĂŻv, une ville qui comptait habitants avant l'invasion russe lancĂ©e le 24 fĂ©vrier, porte les cicatrices des bombardements qui la frappent presque quotidiennement depuis six mois. A 300 mĂštres de l'Ă©lĂ©gant bĂątiment nĂ©o-classique qui abrite le théùtre, se dresse la carcasse de bĂ©ton tordu de l'administration rĂ©gionale, foudroyĂ©e le 29 mars par un missile qui a tuĂ© 37 personnes. Selon la mairie, MykolaĂŻv n'a connu que 25 jours de calme depuis le 24 fĂ©vrier, ce qui a fait dire au prĂ©sident Volodymyr Zelensky qu'elle est avec Kharkiv nord et les citĂ©s du Donbass est la plus bombardĂ©e d'Ukraine» alors que la ligne de front s'Ă©tend Ă  une vingtaine de kilomĂštres seulement. Les destructions ne touchent pas que des cibles militaires trois universitĂ©s ont Ă©tĂ© rĂ©cemment touchĂ©es par des bombardements et, selon les autoritĂ©s rĂ©gionales, 123 institutions culturelles ont Ă©tĂ© dĂ©truites dans la rĂ©gion depuis que les combats ont commencĂ©. - Etre un soutien» - L'ancien théùtre dramatique russe de MykolaĂŻv -son nom officiel jusqu'Ă  la guerre- s'appelle dĂ©sormais le théùtre d'art dramatique de MykolaĂŻv. Dans la minuscule loge aux murs recouverts de photos d'acteurs soviĂ©tiques, ukrainiens et holywoodiens, l'actrice Kateryna Tchernolitchenko, 43 ans, reçoit les derniĂšres touches de maquillage dans la bonne humeur. Je suis trĂšs heureuse de retrouver notre scĂšne, notre maison, et je pense qu'il est important que l'art puisse ĂȘtre un soutien pour les gens», lance l'actrice, qui s'est comme les autres portĂ©e volontaire pour cette premiĂšre. Sa collĂšgue Marina Vassyleva, qui s'apprĂȘte Ă  enfiler une robe de mariĂ©e, complĂšte avec emphase Les acteurs, dans ces circonstances, sont les mĂ©decins de l'Ăąme humaine». Je vois ma mission et le sens de ma vie en ce moment. On a besoin de moi ici, Ă  MykolaĂŻv», poursuit-elle. Depuis le dĂ©but de la guerre, trois acteurs ont rejoint l'armĂ©e et 20% de la troupe s'est rĂ©fugiĂ© ailleurs en Ukraine ou Ă  l'Ă©tranger, une proportion finalement modeste dans une ville qui s'est vidĂ©e de plus de la moitiĂ© de sa population, selon les chiffres de la mairie. La troupe joue habituellement dans une salle de 450 places et les piĂšces ont Ă©tĂ© adaptĂ©es pour la scĂšne dans l'abri», comme elle est appelĂ©e. Mais en dĂ©pit de la guerre, il n'est pas question de jouer uniquement des oeuvres patriotiques. AprĂšs un lever de rideau rendant hommage Ă  l'Ukraine, la premiĂšre de la nouvelle saison, tirĂ©e d'un auteur national contemporain, est une piĂšce absurde traitant des rĂ©alisations de nos dĂ©sirs», explique Artiom Svytsoun. DĂšs la semaine prochaine, le théùtre d'art dramatique de MykolaĂŻv continuera avec deux sĂ©ances par jour, du jeudi au dimanche, au plus grand bonheur d'Olga Kroutchok. J'espĂšre revenir tous les week-ends. Le théùtre apporte des Ă©motions aux gens en ces temps de guerre, et cela nous rend la vie plus facile», glisse cette spectatrice de 55 ans. Oleksandre Skotnikov, un autre spectateur de 42 ans, abonde Quand nous sommes sous les bombes, comme maintenant, le théùtre donne un grand sourire et inspire les gens Ă  continuer Ă  vivre».
LockerbieBombardement - 270 morts. Le 21 dĂ©cembre 1988, une bombe explosa sur le vol Pan Am 103 de Londres Ă  New York. L'avion s'est Ă©crasĂ© dans un champ prĂšs de Lockerbie, en Écosse, tuant 11 personnes sur le terrain. Deux ressortissants libyens ont finalement Ă©tĂ© reconnus coupables.
Les avions qui partent et atterrissent Ă  Nantes polluent le paysage, cassent les oreilles et risquent de s’écraser en plein centre-ville. Boutons donc l’aĂ©roport actuel – situĂ© Ă  Bouguenais, juste au sud de la ville – pour en construire un, bien plus loin, Ă  Notre-Dame-des-Landes NDDL. VoilĂ  les arguments entre autres des dĂ©fenseurs du projet de nouvel aĂ©roport. Agrandir le plan Dans le camp des opposants, on se gratte la tĂȘte. Comment se fait-il que Nantes soit survolĂ© si frĂ©quemment par les avions ? Les contrĂŽleurs aĂ©riens ne le feraient-ils pas exprĂšs, pour agacer les Nantais et gagner les habitants Ă  la cause du nouvel aĂ©roport ? Commençons par quelques donnĂ©es de base. Sachez d’abord qu’un avion doit toujours se poser ou dĂ©coller face au vent. C’est la rĂšgle. Sachez ensuite que la piste utilisĂ©e Ă  Nantes est orientĂ©e sud-ouest - nord-est dans le milieu, on dit 30°-210°C, comme le montre le schĂ©ma ci-dessous. Les avions peuvent donc se poser dans les deux sens du sud vers le nord QFU 03 sur le schĂ©ma, ou du nord vers le sud QFU 21 Ne vous fiez pas Ă  la position du texte sur le schĂ©ma mais aux couleurs. Pour Ă©viter un survol excessif de l’agglomĂ©ration, un document du service de l’information aĂ©ronautique Ă  lire ci-dessous prĂ©cise que pour les Avions de tous types », le QFU 03 du sud vers le nord, ndlr est obligatoire jusqu’à un vent arriĂšre de 8 kt l’équivalent de 8 nƓuds, ou 14,8 km/h, ndlr, sauf si l’état de la piste rend son utilisation impossible ». LFRS Oui, les avions passent trop au-dessus de NantesDans le camp des opposants Ă  Notre-Dame-des-Landes, le pilote Thierry Masson est persuadĂ© qu’on lui demande de passer trop souvent par le nord donc au-dessus de Nantes. Il a collectionnĂ© patiemment les relevĂ©s Metar – soit les donnĂ©es mĂ©tĂ©o essentielles Ă  une bonne navigation – de certains jours oĂč les avions Ă©taient appelĂ©s Ă  se poser systĂ©matiquement ou presque face au sud. RĂ©sultat alors que le temps Ă©tait beau ciel et visibilitĂ© bonne, soit CAVOK sur le document ci-dessous ou lĂ©gĂšrement nuageux FEW et le vent faible - entre 3 et 8 noeuds sauf une pointe au-dessus entre 16 et 18h - les avions ont tous atterris sur la piste 21 pendant la journĂ©e du 27 mai 2012, c’est-Ă -dire qu’ils ont tous survolĂ© Nantes. Idem les 25 et 26 juin document 2 avec un vent Ă  8 kt maximum. Le 4 dĂ©cembre 2012, les vents relativement forts jusqu’à 15 kt Ă  13h ont faibli vers 17h. Et pourtant la QFU 21 a Ă©tĂ© utilisĂ©e toute la journĂ©e », prĂ©cise Thierry Masson en tĂȘte de son document. Metar Doc2 Pour comprendre plus prĂ©cisĂ©ment comment dĂ©crypter un Metar, rendez-vous ici. Un tiers du temps, le vent vient du sud, un tiers du temps, il vient du nord et le reste du temps, il n’y a pas de vent du tout. Donc deux tiers des avions devraient se poser par le sud. Or plus de 50% passe par le nord », souligne le pilote amateur Michel Tarin, par ailleurs membre de SolidaritĂ© Ecologie opposĂ©e au projet de nouvel aĂ©roport. Sur les 44 000 mouvements commerciaux annuels. Il y en a 20 000 par le Nord, 22 Ă  24 000 par le Sud », abonde Thierry Masson. LĂ©gĂšre nuance pour Philippe Guigon, contrĂŽleur aĂ©rien rennais depuis peu Ă  la retraite. Pour lui, on aurait Ă  Nantes 40% des arrivĂ©es par le nord et 60% par le sud. Comme les vents dominant viennent du sud-ouest, quand il y a trop de vent en vent arriĂšre on ne peut pas se poser par le sud », souligne-t-il. Quoi qu’il en soit, pour Thierry Masson, de telles statistiques sont embĂȘtantes dans la pratique de son mĂ©tier La plupart des lignes commerciales partent ou arrivent du sud-est de la France. Les avions ne devraient donc pas Ă  avoir Ă  faire le grand tour par le nord, et donc pas Ă  survoler Nantes. C’est une rallonge de 5-7 minutes en temps de vol, une rallonge de carburants, de pollution et d’argent. » Un complot des contrĂŽleurs ? Mais alors que se passe-t-il ? Y a-t-il vraiment un complot pour inciter les avions Ă  passer sur la ville ? Pour Thierry Masson, la DGAC Direction gĂ©nĂ©rale de l’aviation civile, ndlr est pleine de bonne volontĂ© mais ce sont les services qui ne jouent pas le jeu. Les contrĂŽleurs aĂ©riens s’obstinent. » A croire que ces derniers auraient envie de changer de lieu de travail. Pour eux, Notre-Dame-des-Landes a l’attrait d’un nouvel outil de travail, diffĂ©rent », poursuit-il. Philippe Guigon – pourtant opposĂ© au nouveau projet de Notre-Dame-des-Landes – avoue avoir rit jaune » quand il a entendu ce mauvais bruit ». Soit disant mes collĂšgues de Nantes ne favoriseraient pas l’atterrissage prĂ©vu par le nord ? Mais vous savez, il y a des manuels d’exploitation qui respectent les normes internationales. AprĂšs, c’est comme dans tous les mĂ©tiers, il y a des schĂ©mas mentaux. Mettons que le vent se mette Ă  faiblir et que la 21 est en service. Je continue. Parce qu’il y a cinq avions en file indienne qui attendent. Ce n’est pas de la mauvaise foi dĂ©libĂ©rĂ©e. Ça peut arriver dans tous les terrains du monde. Et n’y voyez pas une dĂ©fense solidaire corporatiste ! » Pour lui, les contrĂŽleurs n’auraient pas mĂȘme intĂ©rĂȘt Ă  un tel soutien La plupart des collĂšgues quand ils sont arrivĂ©s Ă  Nantes ont pris une habitation pas trĂšs loin de l’aĂ©roport. Si on leur colle un nouvel aĂ©roport au nord de la ville, ils auront plus de trajet. »Au-delĂ  de respecter le simple code de bonne conduite, d’autres choses pourraient ĂȘtre amĂ©nagĂ©es pour limiter les nuisances dans la ville. On pourrait instaurer des descentes en continu et non en palier », suggĂšre Michel Tarin. Cette descente en continu permet de consommer moins, polluer moins, crĂ©er moins de bruit et il n’y a pratiquement pas de risque de dĂ©crochage », poursuit-il. Or, la descente en continu n’aurait pas Ă©tĂ© mise, pour l’instant, en place sur Nantes Atlantique selon lui. Faux pour Philippe Guigon On essaye de le faire. » L’ex-aiguilleur du ciel souligne nĂ©anmoins qu’il faudrait augmenter la pente d’atterrissage Ă  Nantes Atlantique. Ainsi on passerait moins bas au-dessus de l’üle de Nantes qui a Ă©tĂ© joyeusement lotie par Jean-Marc Ayrault. » Unavion dĂ©colle (ou atterrit) quand sa vitesse de dĂ©placement par rapport Ă  l'air est supĂ©rieure (ou infĂ©rieure) Ă  la vitesse de dĂ©crochage. Cette vitesse est la combinaison vectorielle de la vitesse propre de l'avion et de la vitesse du vent. L'idĂ©al est donc de dĂ©coller ou atterrir avec un vent de face. La piste unique ou principale d'un aĂ©rodrome est donc orientĂ©e dans la Terrain dĂ©foncĂ©. RĂ©pondre en citant le message Terrain dĂ©foncĂ©. Bonjour,Pour info hier je suis allĂ© vers le Terrain, petite vidĂ©o avec le drone du chemin cotĂ© Ecury jusqu'au terrain, j'y suis pas allĂ© car je ne voulais pas m'embourber, finalement ce doit ĂȘtre serra trĂšs difficile pour les avions qui dĂ©colle du sol Youtube++ Helico, Avions, want to be master of your helicopter and be true pilot, think flybar !!! vous voulez ĂȘtre maĂźtre de votre hĂ©licoptĂšre et ĂȘtre de vrais pilotes, choisissez le flybar Altaramis membre Messages 961EnregistrĂ© le 12 Mai 2009, 0844Localisation Chalons en Champagne IdentitĂ© Jean-RĂ©my RĂ©pondre en citant le message Re Terrain dĂ©foncĂ©. par RĂ©my » 20 DĂ©c 2021, 0930 C'est le carnage ! Tous ce qui a dĂ©collĂ© finira par atterrir ! RĂ©my membre Messages 292EnregistrĂ© le 09 Avr 2012, 0704Localisation Grauves RĂ©pondre en citant le message Re Terrain dĂ©foncĂ©. par lgros » 21 DĂ©c 2021, 0952 Oops y a plus de terrain Futaba T8FG - Trex 450 pro V2 - Gee Bee 980mm - lgros membre Messages 320EnregistrĂ© le 13 Juil 2010, 0944Localisation Chalons en Champagne IdentitĂ© christian olen Retourner vers Terrain Qui est en ligne Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistrĂ© et 0 invitĂ©s Commentvolent les planeurs, et en quoi ils sont diffĂ©rents des avions Ă  moteur. Si les avions et les planeurs partagent de nombreux facteurs de conception, d’aĂ©rodynamisme et de pilotage, l’absence de moteur change fondamentalement la façon dont un planeur vole. Fuselage profilĂ©. Ailes Ă  fort allongement.

Ci-dessous les traditionnelles brĂšves signĂ©es Bernard Morvan Zemmour Ă  La Baule ? – Il paraĂźt que Eric Zemmour prĂ©pare une tournĂ©e de confĂ©rences. OĂč atterrir en Bretagne ? A Nantes oĂč il a obtenu 8 990 voix 6,17 % des suffrages exprimĂ©s au premier tour de l’élection prĂ©sidentielle. A Rennes 4 126 voix/4,48%. A Brest 3 552 voix/5,88 %. A Saint-Malo 1 868 voix/6,55 %. A Saint-Brieuc 1 013 voix/ 4,99 %. A Quimper 1 632 voix/4,94 %. A Lorient 1 514 voix/5,60 %. A Vannes 2 313 voix/7,90 %. A Saint-Nazaire 1 895 voix/5,28 %. Il y a mieux La Baule, ville oĂč il a rĂ©alisĂ© son meilleur score breton 1 554 voix/12,13 % grĂące Ă  une sociologie trĂšs particuliĂšre. Le maire Franck Louvrier LR, tendance Macron serait heureux de l’accueillir. La salle Atlantia est disponible. Le public existe. Les retombĂ©es mĂ©diatiques sont garanties. Et comme Louvrier fait tout son possible pour animer sa ville, il serait gĂątĂ©. Zemmour, ça vaut bien un match de polo organisĂ© sur la plage par le Brittany polo club
 DĂ©putĂ©-maire ou sĂ©nateur-maire, ça fait bien sur une carte de visite – La loi organique n°2014-125 du 14 fĂ©vrier 2014 interdisant le cumul de fonctions exĂ©cutives locales avec le mandat de dĂ©putĂ© ou de sĂ©nateur rend certains parlementaires malheureux ; ils regrettent le bon temps oĂč ils pouvaient jouer au dĂ©putĂ©-maire ou au sĂ©nateur-maire. C’est-Ă -dire effectuer deux mĂ©tiers simultanĂ©ment, voire davantage. Un champion en la matiĂšre fut incontestablement Jean-Marc Ayrault PS. Lorsque François Hollande le nomma Premier ministre en 1972, il Ă©tait tout simplement maire de Nantes, prĂ©sident de Nantes mĂ©tropole, dĂ©putĂ© de Nantes-Saint-Herblain et prĂ©sident du groupe socialiste Ă  l’AssemblĂ©e nationale ; on dit qu’il n’y a que vingt-quatre heures dans une journĂ©e
 Souvent un dĂ©putĂ© ou un sĂ©nateur s’ennuie lorsqu’il ne joue pas un rĂŽle important dans son assemblĂ©e. Par exemple membre du bureau, prĂ©sident de son groupe, prĂ©sident de commission, rapporteur gĂ©nĂ©ral du budget, rapporteur d’un projet de loi. Tandis que dans une mairie, il est le roi faisant la pluie et le beau temps ; il existe, ce qui n’est pas le cas pour les parlementaires de base ». C’est pourquoi Karl Olive Renaissance, ancien maire de Poissy, dĂ©putĂ© des Yvelines, a dĂ©posĂ© une proposition de loi visant Ă  rĂ©tablir le cumul des mandats. Un de ses arguments on est moins prĂ©sents sur le terrain » Le Figaro, samedi 13-dimanche 14 aoĂ»t 2022 ; affirmation qui ne tient pas debout. En effet l’article 28 de la Constitution prĂ©cise Le nombre de jours de sĂ©ance que chaque assemblĂ©e peut tenir au cours de la session ordinaire ne peut excĂ©der cent vingt. Les semaines de sĂ©ance sont fixĂ©es par chaque assemblĂ©e. » VoilĂ  qui laisse beaucoup de temps de libre au dĂ©putĂ©-sĂ©nateur pour mettre les mains dans le cambouis dans sa circonscription et s’occuper de ses administrĂ©s. Mais il existe quelques parlementaires pour voir les choses diffĂ©remment ; c’est le cas de Jean-Claude Raux EELV, dĂ©putĂ© de ChĂąteaubriant et ancien maire de SaffrĂ©. Il juge compliquĂ© d’avoir les deux casquettes ». Plus on a de mandats, moins l’on peut s’impliquer sĂ©rieusement », soutient-il Le Figaro, samedi 13-dimanche 14 aoĂ»t 2022 Match Balanant- Ruffin – Moteur, ça tourne ! » Depuis le quinquennat prĂ©cĂ©dent, Erwan Balanant Modem, dĂ©putĂ© de Concarneau-QuimperlĂ©, a l’habitude de moquer les interventions dans l’hĂ©micycle de son collĂšgue de La France insoumise François Ruffin, connu pour ses coups de gueule multipartagĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux
 et souvent dĂ©vastateurs pour Emmanuel Macron et ses troupes. Cela s’appelle des ruffinades, raille Balanant. Parfois, il les rate, et il reprend la parole sur l’amendement suivant parce que la premiĂšre prise n’a pas Ă©tĂ© la bonne » LibĂ©ration, vendredi 5 aoĂ»t 2022. On peut se moquer de Ruffin mais il voit des choses que les autres ne voient pas. Ainsi Ă  propos de Marine Le Pen qui a Ă©tĂ© vue comme l’avocate du pouvoir d’achat des plus modestes ». RĂ©ponse de Ruffin A fond ! Evidemment, elle ne raconte pas la mĂȘme chose Ă  L’Opinion » qu’à TF 1. Mais j’ai lu son programme. Sur le social, il n’y a rien. Ni hier ni aujourd’hui, les questions du partage » et de la rĂ©partition des richesses ne sont prĂ©sentes. Multinationales », profits », CAC 40 », ces mots sont absents. » L’Obs, 4 aoĂ»t 2022. Qu’en pense Gilles Pennelle, leader du Rassemblement national en Bretagne ? La guerre des polices – GĂ©rald Darmanin, ministre de l’IntĂ©rieur, veut fusionner tous les services de police dans la cadre dĂ©partemental, sous les ordres du prĂ©fet. Ce projet de rĂ©forme est contestĂ© par la Police judiciaire et par les magistrats. De 1974 Ă  2005, Ă  l’antenne de la PJ de Brest, Maurice Joly a fait partie des seigneurs de la police ». DotĂ©s de gros moyens, n’ayant de comptes Ă  rendre qu’aux juges d’instruction, ces policiers s’occupent des enquĂȘtes les plus difficiles. Quand je suis arrivĂ© en 1974, l’antenne brestoise Ă©tait au stade embryonnaire avec un an d’existence. Elle avait Ă©tĂ© créée pour rĂ©duire les frais de dĂ©placement, et pour lutter contre les attentats du Front de libĂ©ration de la Bretagne FLB. Ils Ă©taient quatre Ă  la section criminelle et deux Ă  la section Ă©conomique et financiĂšre. Avec un autre collĂšgue, je suis venu renforcer la financiĂšre. » Le TĂ©lĂ©gramme, Brest, lundi 15 aoĂ»t 2022. On ne sait pas si les Brestois de la PJ ont consacrĂ© beaucoup de temps au FLB car c’était un gaspillage d’énergie et une erreur d’aiguillage. En effet les milieux FLB Ă©taient pĂ©nĂ©trĂ©s et manipulĂ©s par la DST. Parmi les plus fameux exploits » du FLB, on peut citer la destruction de la villa de Francis Bouygues Ă  RothĂ©neuf, opĂ©ration concoctĂ©e par la DST et effectuĂ©e par deux braves militants ». On peut Ă©galement Ă©voquer la crĂ©ation par cette derniĂšre d’un Front de libĂ©ration de la Bretagne/LibĂ©ration nationale et socialisme », Ă  partir de petites annonces publiĂ©es dans le quotidien LibĂ©ration. Son but identifier les membres de l’autre FLB » en les attirant. Voir le chapitre VIII Face au FLB et Ă  Carlos la brigade des manipulations de l’ouvrage de Roger Faligot et Pascal Krop DST, police secrĂšte » Flammarion, fĂ©vrier 2003. On lira Ă©galement avec intĂ©rĂȘt – et amusement – le livre de Jean Bothorel Un terroriste breton » Calmann-LĂ©vy, mai 2001. Les activitĂ©s clandestines de ce dernier se terminent en janvier 1969 par une pantalonnade la tentative de vol d’armes Ă  la caserne Pittie de Nevers. Les militaires les attendaient N’insistez pas, vous ĂȘtes cernĂ©s. » Le lendemain, Jean Bothorel Ă©tait accueilli » par Raymond Marcellin, ministre de l’IntĂ©rieur, place Beauvau EspĂšce de petit con ». Nous conseillons Ă  Maurice Joly de lire ces deux livres qui pourront lui faire perdre certaines de ses illusions. Le colonel manque de prĂ©cision – Le colonel Gonzague Montmorency a commandĂ© la gendarmerie des CĂŽtes-d’Armor pendant trois ans. Dans un entretien accordĂ© Ă  Ouest-France CĂŽtes-d’Armor, mardi 5 juillet 2022, il dresse le bilan de son action. A la question Comment analysez-vous la dĂ©linquance dans le dĂ©partement », il rĂ©pond On voit des nouvelles formes de dĂ©linquance. Des nouveaux arrivants apportent des modes de violence plus urbains. A Guingamp, Dinan, LoudĂ©ac, par exemple, on retrouve des phĂ©nomĂšnes qu’on rencontrait plutĂŽt dans les grandes agglomĂ©rations et leurs pĂ©riphĂ©ries il y a quelques annĂ©es. On s’adapte Ă  cette dĂ©linquance. » Nous posons trois questions qui sont ces nouveaux arrivants » ? Quels modes de violence plus urbains » apportent-ils ? Pourquoi dĂ©barquent-ils dans les CĂŽtes-d’Armor plutĂŽt qu’en Seine-Saint-Denis ? Les lecteurs d’Ouest-France auraient apprĂ©ciĂ© un rapport de meilleure qualitĂ© de la part du colonel. Le Medef est riche – Dans un article consacrĂ© Ă  une confĂ©rence donnĂ©e par Nicolas Sarkozy aux membres du Medef du FinistĂšre, le journaliste du TĂ©lĂ©gramme avait omis d’indiquer les tarifs de Sarko pour ce genre de travail ; nous avions regrettĂ© cet oubli qui relevait du manque de curiositĂ©. D’aprĂšs Le Canard enchaĂźnĂ© 10 aoĂ»t 2022, ces confĂ©rences sont payĂ©es entre 40 000 et 100 000 euros. Ainsi les adhĂ©rents du Medef du FinistĂšre sauront Ă  quoi servent leurs cotisations. L’hebdomadaire du mercredi apporte d’autres prĂ©cisions Pas encore SDF, Nicolas Sarkozy, aujourd’hui ĂągĂ© de 67 ans, peut toujours compter sur ses jetons de prĂ©sence chez Accor 69 976 euros en 2021 ou chez LagardĂšre 49 039 euros en 2020 et sur ses retraites d’ancien parlementaire et d’ex-prĂ©sident. » On pourrait ajouter sa retraite de maire de Neuilly et les dividendes que lui rapporte le cabinet d’avocats Realyze dont il dĂ©tient un tiers du capital. Que du bonheur ! Bernard Morvan CrĂ©dit photo DR photo d’illustration [cc] 2022, dĂ©pĂȘches libres de copie et de diffusion sous rĂ©serve de mention et de lien vers la source d’origine 6 rĂ©ponses Il est peu probable que Franck Louvrier serait heureux » d’accueillir Eric Zemmour Ă  La Baule. Comme Breizh-info l’a soulignĂ© en son temps il s’est opposĂ© Ă  lui trĂšs violemment. N’oubliez pas que Louvrier, comme son ancien patron Sarkozy, a pratiquement rejoint le camp Macron. En revanche, l’idĂ©e d’une confĂ©rence de Zemmour Ă  La Baule va de soi. GrĂące Ă  une sociologie trĂšs particuliĂšre », comme vous le dites ? Ce sous-entendu cauteleux mĂ©riterait d’ĂȘtre prĂ©cisĂ©. Voulez-vous dire par lĂ  qu’il se trouve Ă  La Baule beaucoup de gens ĂągĂ©s et aisĂ©s ? Mais, ailleurs, c’est une sociologie » qui vote Macron, pas Zemmour ! Zemmour a beaucoup de lecteurs Ă  La Baule son score Ă©lectoral rĂ©sulte plus probablement d’un accord intellectuel que du montant des comptes en banque. non seulement il y a fait son meilleur score Ă©lectoral de Bretagne, mais ses livres y sont trĂšs lus. Darmanin rĂ©forme la Police et l’équipe de forces rĂ©pressives CRS 58, blindĂ©s, munitions pour LBD etc. il prĂ©pare la rentrĂ©e que Macron veut violente contre les Français. Car le baratin au conseil des ministres sur la fin du bon temps veut dire » vous, le peuple, vous allez morfler . Pourquoi faut il d’envisager une violence d’État ? Parce que prĂ©cisĂ©ment Macron craint le retour de la violence politique de la part du peuple. L’ acte Gilets jaunes a en effet montrĂ© que la rĂ©sistance populaire continuer Ă  dĂ©filer sous les matraques et les balles de LBD a payĂ© 12 milliards lachĂ©s rapidement par Macron afin d’éteindre le feu . Alors que depuis, les manifestations tranquilles sont restĂ©es sans effet et les recours devant la Justice sont mĂ©prisĂ©s Il n’y a plus d’état de droit en France. On a essayĂ© les banquiers, les avocats, les Ă©narques et on a vu le rĂ©sultat ! Pourquoi ne pas avoir essayĂ© un chroniqueur qui explique clairement qu’il aime la France ? Il est vrai qu’en Bretagne Macron et la gauche ont eu la faveur des Ă©lecteurs ! La gauche on a vu ! Macron on a vu et souffert !!! Je ne comprends pas. Peut-ĂȘtre parce que le type n’a rien d’europĂ©en, c est un français CrĂ©mieux, donc un algĂ©rien juif. Il est beau le sauveur ladidon. ruffin est le seul LFI Ă  vraiment se prĂ©occupĂ© des petites gens et parler sans tabou et en ayant pleine conscience du rĂ©sultats des mesures qu’il propose Il est bien naturel que la droite macronienne vienne au secours d’Éric Zemmour. Ils ont le mĂȘme ennemi qui est le Rassemblement national et ses dix mois de campagne au profit d’Emmanuel Macron contre Marine Le Pen prĂȘchent en sa faveur. Laisser un commentaire

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Photos hydravion Un hydravion est un aĂ©ronef Ă  voilure fixe Ă  moteur capable de dĂ©coller et d'atterrir amerrir sur l'eau. Les hydravions qui peuvent aussi dĂ©coller et atterrir sur les terrains d'aviation font partie d'une sous-classe appelĂ©e avion amphibie. Les hydravions et les amphibiens sont gĂ©nĂ©ralement divisĂ©s en deux catĂ©gories en fonction de leurs caractĂ©ristiques technologiques les hydravions et les bateaux volants ; ces derniers sont gĂ©nĂ©ralement beaucoup plus grands et peuvent transporter beaucoup plus de choses. Ces avions Ă©taient parfois appelĂ©s hydroplanes, mais actuellement ce terme s'applique plutĂŽt aux motomarines qui utilisent la technique de levage hydrodynamique pour Ă©crĂ©mer la surface de l'eau lorsqu'elles circulent Ă  grande vitesse. Leur utilisation a progressivement diminuĂ© aprĂšs la Seconde Guerre mondiale, en partie Ă  cause des investissements dans les aĂ©roports pendant la guerre. Au XXIe siĂšcle, les hydravions servent Ă  quelques usages de niche, comme le largage de l'eau lors d'incendies de forĂȘt, le transport aĂ©rien autour des archipels et l'accĂšs Ă  des zones non amĂ©nagĂ©es ou sans route, dont certaines ont de nombreux lacs. Les plus beaux livres sur le monde des hydravions Ă  travers le monde et le temps © CrĂ©dits photos toutes les photos, images et illustrations sont la propriĂ©tĂ© exclusive de leur auteur. Si une photo demeure sous copyright, merci de nous contacter. *** DĂ©couvrir les meilleures maquettes, livres et DVD sur les hydravions 🚁 *** * Site officielle de l'Association Française d'Hydraviation * Page officielle de l'hydravion Icon A5 VidĂ©o Hydravions Les dinosaures de l' aĂ©ronautique documentaire L'histoire des hydravions Peu aprĂšs le premier vol des frĂšres Wright, les premiers pionniers de l'aviation se sont empressĂ©s de concevoir des avions capables de dĂ©coller, de flotter et d'atterrir sur l'eau. Les hydravions sont gĂ©nĂ©ralement divisĂ©s en deux catĂ©gories les hydravions et les bateaux volants. Les hydravions sont Ă©quipĂ©s de flotteurs montĂ©s sous le fuselage de l'avion. De nombreux petits aĂ©ronefs terrestres peuvent ĂȘtre modifiĂ©s pour devenir des hydravions Ă  flotteurs. Dans un bateau volant, la principale source de flottabilitĂ© est le fuselage de l'avion, qui a la forme d'une coque de navire. Les bateaux volants peuvent aussi avoir de petits flotteurs montĂ©s sur les ailes pour plus de stabilitĂ©. Un avion amphibie est capable de dĂ©coller et d'atterrir sur des Ă©tendues d'eau et sur des pistes traditionnelles. Le premier vol d'hydravion motorisĂ© rĂ©ussi a eu lieu en 1910 Ă  Marseille, en France. Henri Fabre a pilotĂ© une invention qu'il appelait l'Hydravion. L'avion de Fabre Ă©tait Ă©quipĂ© de flotteurs en contreplaquĂ© qui permettait Ă  l'avion lĂ©ger de dĂ©coller de l'eau, de voler sur environ un demi-kilomĂštre et d'atterrir en toute sĂ©curitĂ© sur l'eau. En 1911, le pionnier de l'aviation amĂ©ricaine Glenn Curtiss a mis au point le modĂšle D de Curtiss, un avion terrestre Ă©quipĂ© d'un flotteur central et de boudins. Cet avion amphibie prĂ©coce a reçu le tout premier trophĂ©e Collier Trophy pour la rĂ©ussite d'un vol amĂ©ricain. Curtiss a ensuite conçu plusieurs versions de bateaux volants, qui se sont rĂ©vĂ©lĂ©es attrayantes pendant la PremiĂšre Guerre mondiale en raison de l'absence de pistes d'atterrissage autour du monde. Au dĂ©but de la guerre, la sĂ©rie Curtiss Model H a Ă©tĂ© largement produite pour la Royal Navy britannique. La sĂ©rie Model H Ă©tait une famille d'hydravions long-courriers dĂ©veloppĂ©s Ă  l'origine sur commande en rĂ©ponse Ă  un concours de prix pour la premiĂšre traversĂ©e aĂ©rienne de l'Atlantique sans escale. GrĂące Ă  son endurance Ă  longue portĂ©e et Ă  ses capacitĂ©s d'hydravion, l'avion a Ă©tĂ© utilisĂ© pour vaincre les navires ennemis et sauver les aviateurs et les marins. À la fin des annĂ©es 1930, les hydravions Ă©taient parmi les plus gros et les plus rapides au monde. La possibilitĂ© de s'arrĂȘter aux stations cĂŽtiĂšres pour faire le plein d'essence a fait des hydravions un moyen de transport relativement sĂ»r et fiable sur de longues distances. Les bateaux volants tels que les Boeing 314 "Clipper" de Pan American Airways reprĂ©sentaient le sommet du vol transatlantique de luxe. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les AlliĂ©s ont utilisĂ© des hydravions pour accĂ©der Ă  des zones reculĂ©es de l'autre cĂŽtĂ© de l'ocĂ©an Pacifique Ă  des fins de reconnaissance, de guerre anti sous-marine et de missions de recherche et de sauvetage. AprĂšs la guerre, les hydravions ont Ă©tĂ© retirĂ©s de l'usage militaire, en partie Ă  cause des investissements importants dans des avions Ă  rĂ©action et des pistes plus longues. Les hydravions modernes d'aujourd'hui sont principalement des avions amphibies lĂ©gers Ă©quipĂ©s de flotteurs qui permettent aux pilotes d'atterrir dans des rĂ©gions Ă©loignĂ©es du monde entier. Les organismes de sauvetage, comme les gardes-cĂŽtes, utilisent frĂ©quemment des hydravions modernes pour les missions de recherche et de sauvetage. Quelle est la diffĂ©rence entre un avion flotteur et hydravion ? Les termes "avion Ă  flotteurs" et "hydravion" floatplane and seaplane en anglais sont utilisĂ©s de maniĂšre interchangeable dans certains pays, mais ont techniquement des significations diffĂ©rentes. avion Ă  flotteurs et un hydravion peuvent dĂ©coller et atterrir sur des eaux telles que les ocĂ©ans, les mers, les riviĂšres et les golfes. Les deux peuvent transporter des personnes ou des fournitures. Un avion Ă  flotteurs est techniquement un type d'hydravion. Bateau volant / Hydravion Un type d'hydravion, comme le "bateau volant", est construit autour d'une coque unique qui sert de corps/fuselage flottant de l'avion. Un bateau volant dĂ©colle et atterrit sur le ventre. Le terme bateau volant est moins courant ces derniers temps, mais il est encore rĂ©fĂ©rencĂ© dans la documentation officielle et les dĂ©finitions. Souvent, quand les gens disent hydravion, ils veulent dire bateau volant. Avion Ă  flotteurs D'autre part, un hydravion Ă  flotteurs est aussi appelĂ© "avion ponton". Au lieu d'une coque pouvant se poser sur l'eau, un hydravion Ă  flotteurs possĂšde des flotteurs ou des pontons qui servent de surface d'atterrissage et de dĂ©collage, comme c'est le cas pour le Viking Twin Otter lorsqu'il est Ă©quipĂ© d'un train d'atterrissage flottant. La coque, le corps et le fuselage d'un hydravion Ă  flotteurs ne sont pas destinĂ©s Ă  toucher l'eau. Les Twin Otters de Viking sont des avions amphibies qui peuvent dĂ©coller et atterrir sur des pistes conventionnelles, sur l'eau et mĂȘme sur la neige et la glace avec des "skis". Un vĂ©ritable hydravion ne peut dĂ©coller et atterrir que sur l'eau. Qu'est-ce qu'un avion amphibie ? Hydravion Viking Twin Otter Un avion amphibie est un avion qui peut dĂ©coller et atterrir sur l'eau et sur la terre. Le Twin Otter de Viking a la possibilitĂ© d'ĂȘtre Ă©quipĂ© de flotteurs amphibies qui lui permettent d'atterrir sur terre et sur l'eau sans avoir Ă  changer de train d'atterrissage entre les vols. Les flotteurs amphibies ont une roue attachĂ©e Ă  l'avant du flotteur, ainsi qu'une roue encastrĂ©e prĂšs de l'arriĂšre du flotteur. De plus, l'hydravion Twin Otter est Ă©quipĂ© d'un certain nombre d'autres trains d'atterrissage qui lui permettent de dĂ©coller et d'atterrir sur diverses surfaces. Les autres trains d'atterrissage comprennent des roues droites pour les pistes dures, des flotteurs droits pour l'eau, des skis sur roues pour les surfaces dures sur glace et neige et des pneus tundra pour les atterrissages en terrain mou comme le sable. Les trains d'atterrissage spĂ©cifiques sont soit fournis lors de la livraison initiale de l'avion, soit remplacĂ©s sur un avion existant par du personnel qualifiĂ©. Cette polyvalence permet au Twin Otter d'entreprendre des missions que d'autres avions ne peuvent tout simplement pas accomplir. Viking fournit plus d'informations sur les configurations des trains d'atterrissage dans le guide des options Twin Otter. Quel est le meilleur avion pour atterrir sur des riviĂšres ou de petits plans d'eau ? Les hydravions sont utilisĂ©s dans de nombreux scĂ©narios pour dĂ©coller et atterrir sur des plans d'eau. Cela permet d'accĂ©der Ă  des rĂ©gions Ă©loignĂ©es partout dans le monde, oĂč il n'y a pas de pistes disponibles. Que ce soit pour le soutien industriel, oĂč l'accĂšs aux sites de travail avec du personnel ou de l'Ă©quipement n'est souvent pas une tĂąche facile, avoir un avion robuste qui peut atterrir dans de petites clairiĂšres peut ĂȘtre un avantage Ă©norme. Pour l'atterrissage sur des pistes Ă©troites, un avion STOL tel que le Viking Twin Otter est idĂ©al en raison de ses capacitĂ©s de dĂ©collage et d'atterrissage courts. Un hydravion Ă  flotteurs peut-il atterrir au sol ? Certains hydravions Ă  flotteurs n'ont que des flotteurs et ne peuvent atterrir que dans l'eau. Cependant, certains ont des flotteurs ainsi que d'autres trains d'atterrissage, intĂ©grĂ©s ou disponibles en option, qui leur permettent d'atterrir sur une piste. Un aĂ©ronef qui peut atterrir Ă  la fois sur l'eau et au sol est appelĂ© un aĂ©ronef amphibie. Le Twin Otter est disponible sous forme d'hydravion amphibie ; il peut avoir des flotteurs pour atterrir sur l'eau et des roues pour atterrir sur terre. De plus, le Twin Otter peut ĂȘtre Ă©quipĂ© de skis pour l'atterrissage sur la neige ou la glace ou mĂȘme de gros pneus pour l'atterrissage sur des surfaces plus molles ou plus rugueuses.
ï»żNDLR] 2018 est le quarantiĂšme anniversaire de la rĂ©forme de la Chine et de l'ouverture. A partir de l'une des sources importantes de la rĂ©forme rurale en Chine, aujourd'hui montĂ©e rapide Ă  ouvrir l'intĂ©rieur des terres, la rĂ©forme et l'ouverture du Sichuan jusqu'Ă  40 ans de marĂ©e de marĂ©e d'histoire, un grand nombre de « adeptes de la plage » se battre avec courage de prendre les Le mercredi 19 novembre 1946, pris dans la tourmente, un avion de transport du European Air Transport Service [1] EATS effectuant une liaison entre Vienne, en Autriche, et Pise, en Italie, entreprend un atterrissage d’urgence sur le glacier du Gauli, dans les Alpes bernoises Suisse. DĂšs l’annonce de l’accident, les autoritĂ©s amĂ©ricaines sont en Ă©moi. En effet, l’appareil transporte quatre membres d’équipage et huit passagers, au rang desquels figurent un haut gradĂ© de l’US Army, le gĂ©nĂ©ral Haynes, l’épouse et le fils du gĂ©nĂ©ral Tate ce dernier pilotant l’avion, une autre Ă©pouse d’officier gĂ©nĂ©ral ainsi que le colonel McMahon, son Ă©pouse et leur fille de onze ans, Alice-Mary [2]. Pilote de montagne PDM tire les leçons de cet Ă©vĂ©nement, qui marque rĂ©ellement un tournant dans le secours en montagne et dans le traitement des catastrophes dans les mĂ©dias au plan international
 UN VOL TRÈS PERTURBÉ Le mardi 18 novembre 1946, le DC-53 Skytrooper » [3] numĂ©ro de sĂ©rie 42-68846 et immatriculation Z68846 Ă©quipĂ© en mode transport de passagers il s’agit d’une version militarisĂ©e de l’avion de ligne civil DC-3, dĂ©colle de la base aĂ©rienne de Tulln-an-der-Donau Basse-Autriche, siĂšge du Quartier gĂ©nĂ©ral QG des Forces d’occupation amĂ©ricaines Sud-Est, Ă  une quarantaine de kilomĂštres au nord-ouest de Vienne pour rallier Pise. Du fait des mauvaises conditions mĂ©tĂ©orologiques, le plan de vol prĂ©voit de contourner les Alpes en suivant l’itinĂ©raire Munich Allemagne, Strasbourg, Dijon, et Marseille-Istres en France pour, enfin, atteindre Pise Italie deux jours plus tard. Le voyage s’annonce donc long et Ă©prouvant et la journĂ©e du 18 novembre permet de rallier la premiĂšre Ă©tape sans encombre. PERDUS DANS LA TOURMENTE Le mercredi 19 novembre matin, l’appareil redĂ©colle une premiĂšre fois de Munich dans la matinĂ©e, mais doit faire demi-tour pour s’équiper d’un dispositif de dĂ©givrage. Aubaine pour George Harvey, qui, ayant ratĂ© son avion pour Pise, rĂ©ussit Ă  se joindre aux passagers et Ă  occuper l’unique siĂšge vide. L’appareil redĂ©colle Ă  13 h 05, puis se dĂ©route vers le sud-ouest au lieu de prendre plein-ouest, afin de contourner une zone ou les vents soufflent du nord-ouest Ă  120 km/h. En effet, craignant d’ĂȘtre retardĂ©, le pilote dĂ©cide de rejoindre directement Marseille en traversant les Alpes autrichiennes et le nord de l’Italie. Cependant, Ă  la verticale d’InnsbrĂŒck Tyrol autrichien, l’appareil inflĂ©chit une fois encore sa course en direction de Coire/Chur Canton des Grisons/Suisse. Une fois cette ville identifiĂ©e, le pilote grimpe Ă  3 550 mĂštres d’altitude alors que les sommets environnants sont 300 mĂštres plus hauts
. Au milieu des trous d’air et des montagnes, c’est panique Ă  bord. À 14 h 25, complĂštement perdu dans le brouillard, l’équipage, le capitaine Ralph H. Tate Jr. [4] qui est aussi le fils de Madame Tate, qui est Ă  bord de l’avion, effectue un atterrissage d’urgence sur le glacier du Gauli Ă  une vitesse de 280 km/h et Ă  3 350 mĂštres d’altitude. GrĂące Ă  un vent catabatique [5] descendant vers le fond de la vallĂ©e, il effleure la glace et la neige pour s’immobiliser sur le ventre. En outre, l’accumulation de la neige fraĂźche sous l’aile droite fait pivoter l’avion vers tribord, ce qui l’empĂȘche de tomber dans une large crevasse. TrĂšs court, le freinage est Ă©galement trĂšs violent. Tous les rescapĂ©s sont blessĂ©s Ă  des degrĂ©s divers, Ă  l’exception de George Harvey et d’Alberta Snavely, totalement indemnes. L’atterrissage est digne d’un pilote de glaciers chevronnĂ© [6]. BlessĂ© Ă  la tĂȘte aprĂšs un choc violent sur un montant du cockpit, Ralph Tate Jr. tĂ©moigne Je vois les lignes sombres en dessous nous, trĂšs vite, et puis – je comprends plus tard que c’étaient des crevasses – elles deviennent automatiquement un glacier. Je ne savais pas ce que c’était, je sais seulement que nous en Ă©tions trĂšs prĂšs. Comme elles dĂ©filaient trĂšs vite, j’ai dit Nous sommes dans les montagnes ! » Alors, j’atteins la manette des gaz, la manette des hĂ©lices et la manette des mĂ©langes et les pousse vers l’avant, puis tire le manche vers l’arriĂšre. Mon copilote Ă©tait assis lĂ , il pensait que j’avais un vertige, il tenait son manche comme ça, en m’empĂȘchant de monter, ce qui Ă©tait dangereux, parce que ça pouvait dĂ©crocher, et je l’attrape pour le rendre hors de contrĂŽle et, dĂšs que j’ai dit ça, nous percutons le sol ! » Ā 15 h 30, pensant s’ĂȘtre Ă©crasĂ© dans les Alpes françaises, l’équipage envoie un premier message de dĂ©tresse Mayday, Mayday, Mayday, US Z68846 crashĂ©, Position inconnue, Altitude 10 800 pieds 3 300 mĂštres au-dessus du niveau de la mer, dans neige profonde et brouillard. Nous sommes quatre membres d’équipage et huit passagers, au rang desquels le gĂ©nĂ©ral Haynes et le colonel McMahon. BlessĂ©s Ă  bord. Informez le QG amĂ©ricain Ă  Vienne. Mayday, Mayday, Mayday ! » Ce message est simultanĂ©ment rĂ©ceptionnĂ© par l’aĂ©roport d’Orly, prĂšs de Paris, et par la base aĂ©rienne d’Istres-TubĂ©, au nord-ouest de Marseille. Istres demandant confirmation de la position de l’appareil accidentĂ©, Tate pense ĂȘtre dans les Alpes françaises, plus prĂ©cisĂ©ment Ă  une trentaine de kilomĂštres de Grenoble. Par triangulation, les autoritĂ©s françaises dĂ©terminent que l’appareil Ă©met depuis la Haute-Savoie, dans la rĂ©gion du mont Blanc, ce qui permet le lancement immĂ©diat des opĂ©rations de secours. Moins d’une heure aprĂšs, des Lancaster dĂ©collent d’Istres, tandis que dans les Alpes, partout oĂč l’on a cru entendre passer un avion, comme Ă  Bardonecchia Ă  la frontiĂšre italo-française par exemple, s’ébranlent des colonnes de recherche et de secours
 LES NAUFRAGÉS S’ORGANISENT George Harvey, le seul employĂ© civil du groupe, s’improvise infirmier et administre de la morphine au sergent Folsom, qui a une jambe brisĂ©e, et soigne le gĂ©nĂ©ral Haynes, qui souffre d’une fracture du nez. Pour ce qui est de l’alimentation, les plateaux-repas embarquĂ©s au dĂ©part permettent bien de tenir les trois premiers jours. Ensuite, il faut se rabattre sur les sucres d’orge achetĂ©s Ă  Munich. Quant Ă  l’eau potable, elle provient de la neige fondue obtenue par le brĂ»lage du carburant de l’avion. Enfin, pour passer le temps, le groupe joue aux cartes. La nuit, on s’enroule dans les parachutes pour ne pas mourir de froid. LES RECHERCHES AÉRIENNES Le mercredi 20 novembre, les recherches aĂ©riennes entreprises par un B-17 Flying Fortress » ne donnent rien. Il faut dire que l’avion vole Ă  16 000 pieds et que ses chances de distinguer quelque chose au sol sont assez maigres. Ā bord de la carcasse de l’avion, on maintient le contact radio Ă  8 h 00, Ă  midi et Ă  18 h 00. On demande Ă  l’équipage de prĂ©parer la signalisation du lieu de l’accident. On dĂ©pose donc deux bassines replies d’huile et de carburant-avion Ă  distance de l’avion ainsi que deux robes de chambres appartenant aux passagĂšres pour ĂȘtre prĂȘts Ă  la moindre alerte de bruit d’avion. Ce mĂȘme jour, le capitaine Viktor Hug, Chef de la base aĂ©rienne militaire de Meiringen-Unterbrach, distante de 12,7 km du lieu de l’accident seulement, rĂ©ceptionne, Parfaitement lisible ! », et contrairement Ă  toutes les autres stations, les messages radio des naufragĂ©s qui, logiquement, doivent se trouver Ă  proximitĂ©. Il en rend immĂ©diatement compte Ă  ses supĂ©rieurs de la Direktion der MilitĂ€rflugplĂ€tze DMP/Direction des aĂ©rodromes militaires [DAM]. Le lendemain, jeudi 21 novembre, on envoie sur zone un avion de reconnaissance C-36, qui rentre bredouille. Du coup, les autorisĂ©s helvĂ©tiques en dĂ©duisent que le C-53 s’est Ă©crasĂ© hors de Suisse. Au sol, en l’absence de rĂ©action visible des secours, Harvey et Matthews entreprennent de descendre dans la vallĂ©e pour contacter les populations. Malheureusement, devant les dangers encourus, le binĂŽme doit rebrousser chemin. Ā 18 h 00, le sergent Hill procĂšde Ă  une Ă©mission permanente durant deux minutes ce qui, par triangulation, permet de le localiser dans un triangle Airolo/Sion/Jungfrau. Malheureusement, cette opĂ©ration a pratiquement vidĂ© les batteries. Le dernier message reçu par Orly Ă  18 h 30 mentionne Nous ne tiendrons plus que vingt-quatre heures. BlessĂ©s Ă  bord ! » Ā 19 h 30, la station-radio de DĂŒbendorf reçoit de l’Office confĂ©dĂ©rĂ© la mission de veiller la frĂ©quence 4575. Le jeudi 22 novembre, Ă  9 h 31, un Lancaster de la Royal Air Force RAF britannique, pilotĂ© par le Flight Lieutenant G. Head, distingue enfin l’épave de l’appareil Ă  travers une trouĂ©e dans la couche nuageuse. L’équipage du bombardier le localise prĂ©cisĂ©ment grĂące Ă  ses Ă©missions radio, mais il faudra attendre encore les Ă©claircies avant que des avions de reconnaissance puissent ĂȘtre envoyĂ©s vers cet endroit. Incidemment, un Boeing B-29 Superfortress”, pilotĂ© le gĂ©nĂ©ral Ralph Tate Sr., est entendu par George Harvey encore lui
 qui, postĂ© en sentinelle, tire une fusĂ©e rouge. L’appareil repĂšre alors la carcasse et lance une fusĂ©e verte
 Le pilote du C-53 prend contact avec le bombardier et dĂ©couvre que son pĂšre est aux commandes Hello, Dad ! ». Hello, Ralph ! Comment
 » La batterie rend l’ñme. Pour prĂ©ciser sa position, le B-29 grimpe Ă  7 000 mĂštres et demande qu’on le localise par radiogoniomĂ©trie. C’est alors qu’on dĂ©couvre que l’épave gĂźt dans la partie supĂ©rieure du glacier du Gauli Gauligletscher, dans l’Oberland bernois. À 16 h 30, le capitaine Hug dĂ©colle de Meiringen-Unterbach Ă  bord d’un EKW C-35 des Troupes d’aviation suisses [7] et prĂ©cise les coordonnĂ©es de la carcasse, qui gĂźt dans le Wetterkessel, tout prĂšs du Wetterhorn. À 16 h 25, le prĂ©sident fĂ©dĂ©ral et responsable du DĂ©partement militaire, le Conseiller fĂ©dĂ©ral Karl Kobelt, est informĂ© de la dĂ©couverte. Ā 17 h 00, la position exacte de l’épave lui est communiquĂ©e, ce qui entraĂźne la dĂ©signation du lieutenant-colonel Hans Bracher, Directeur-adjoint de l’Administration militaire, comme coordinateur des secours. Malheureusement, Ă  17 h 15, comme Meiningen-Unterbach ne reçoit pas d’ordre, le personnel rentre Ă  la maison. À 17 h 30, Joseph Oberli alerte le chef-secouriste du Club alpin suisse CAS Oberhasli et dentiste de son Ă©tat, qu’un avion militaire amĂ©ricain avec un gĂ©nĂ©ral Ă  bord, au total 12 personnes, sont naufragĂ©es dans la tempĂȘte. Oberli mobilise immĂ©diatement le chef-guide et appelle l’aĂ©rodrome de Meiringen-Unterbach. Il alerte Ă©galement la 16e Compagnie de forteresse de Thoune/Thun et rĂ©quisitionne une douzaine de transmetteurs. C’est ainsi que le lieutenant-colonel Herbert Wanner, de ladite compagnie, reçoit la mission, trĂšs vague, de se rendre, avec six patrouilles de transmission, Ă  Rosenlaui avec un Ă©quipement hivernal et des skis. À 19 h 30, 24 hommes de la DMP sont rassemblĂ©s et aux ordres. Sur place, le capitaine Viktor Hug prĂ©voit une mission de trois jours, dont deux nuits sous igloos. Il prĂ©voit Ă©galement de parachuter quatre jours de matĂ©riel, dont des vivres, mais aussi des moyens sanitaires et de secours, ainsi que des moyens de chauffage. Il prĂ©voit enfin de damer une piste prĂšs de la carcasse de l’appareil pour y poser des avions de secours. Ā 20 h 45, les 24 hommes, qui ont dĂ©jĂ  accompli leur service journalier, perçoivent le matĂ©riel dans le dĂ©pĂŽt de Meiringen, opĂ©ration terminĂ©e Ă  22 h 30. AccompagnĂ©e du dĂ©tachement de guides locaux, ils rejoignent Rosenlaui en camion. Plus tard dans la nuit, le commandement demande un renfort de 30 hommes. Une fois Ă  Rosenlaui et du fait du manque d’ordres prĂ©cis, c’est rapidement l’anarchie
 UN REPORTAGE EXCEPTIONNEL Robert Gabarde, ancien camĂ©raman du CinĂ©-Journal suisse, 1970. [RTS] En 1970, soit 24 ans aprĂšs les faits, l’émission historique C’était hier de la Radio-TĂ©lĂ©vision Suisse RTS revient sur ce drame. Elle propose des images rĂ©alisĂ©es Ă  l’époque par deux cameramen du CinĂ©-Journal suisse qui ont suivi, heure aprĂšs heure, les opĂ©rations. L’un des deux, Robert Gabarde, tĂ©moigne. Au moment de l’accident, il se trouve Ă  Sion Canton du Valais. Il parvient Ă  embarquer avec sa camĂ©ra dans un avion des Troupes d’aviation suisses qui s’apprĂȘte Ă  dĂ©coller pour une mission de recherche. Avec le pilote de l’appareil, il va repĂ©rer l’avion Ă©chouĂ© sur le glacier du Gauli et en rapporte les premiĂšres images. Revenu Ă  l’aĂ©rodrome de Sion, Robert Gabarde saute dans le premier train pour Meiringen, la localitĂ© la plus proche du lieu de l’accident. Un autre de ses collĂšgues se trouve dĂ©jĂ  sur place. ChargĂ© de son matĂ©riel de prise de vues, ce dernier accompagne la colonne de secours partant Ă  la recherche des naufragĂ©s. DÉBARQUEMENT AMÉRICAIN À MEIRINGEN L’épave une fois localisĂ©e, une opĂ©ration de secours d’envergure est lancĂ©e. ArrivĂ©s par un train spĂ©cial constituĂ© de 18 wagons, 150 militaires de la 88th Infantry Division, entraĂźnĂ©e pour les opĂ©rations en montagne, dĂ©barquent Ă  Interlaken Canton de Berne, car la voie normale ne va pas plus loin. Pour l’anecdote, des soldats amĂ©ricains dĂ©barquent du train, pour le sĂ©curiser, armĂ©s de pistolets –mitrailleurs, comme s’ils Ă©voluaient en zone ennemie. Ce qui n’est Ă©videmment pas du goĂ»t du chef de gare, qui en rĂ©fĂšre au commandant Major Fritz Rothen, chef de la Festungskompanie 11 Compagnie de forteresse 11, qui parle anglais. Rapidement, tout rentre dans l’ordre
 ÉquipĂ©es de Jeeps Willis MB et de Snowcats” [8] version neige du vĂ©hicule M29 Weasel », vĂ©hicules chenillĂ©s en livrĂ©e blanche qui, bien qu’ils soient destinĂ©s Ă  affronter des conditions hivernales sĂ©vĂšres, se rĂ©vĂšlent inadaptĂ©s aux conditions alpines. En effet, un Snowcat » s’immobilise dĂšs la premiĂšre rampe
 Le commandement amĂ©ricain envisage Ă©galement d’employer des planeurs militaires d’assaut, acheminĂ©s d’Orly Ă  bord d’un Lancaster. Cette idĂ©e est finalement abandonnĂ©e, les risques d’atterrir dans des zones crevassĂ©es Ă©tant trop Ă©levĂ©s. Par consĂ©quent, les troupes au sol doivent finalement terminer leur progression Ă  pied. Colonne de Jeeps et un Snowcat » Ă  Meiringen Cliquer sur l’image pour accĂ©der Ă  la sĂ©rie de photos. Ā 14 h 00, un Dakota sanitaire en provenance de Turin Italie atterrit Ă  Interlaken. En descendant de l’avion, le pilote demande au commandant de l’aĂ©rodrome Pouvez-vous me dire, s’il vous plaĂźt, pourquoi je suis lĂ  ? » D’autre part, 70 parachutistes amĂ©ricains et cinq parachutistes italiens se portent volontaires auprĂšs des autoritĂ©s amĂ©ricaines. Cependant, les autoritĂ©s suisses doivent les Ă©conduire, de peur de devoir venir au secours d’autres naufragĂ©s dispersĂ©s sur le glacier. Au fil des heures, des cohortes de journalistes, photographes et cameramen affluent. Karl Kobelt, le prĂ©sident de la ConfĂ©dĂ©ration, fait en personne le voyage depuis Berne. LE SAUVETAGE Reconnaissance aĂ©rienne Le samedi 23 novembre, au lever du jour et malgrĂ© le brouillard signalĂ© en hauteur, le commandant Major Pista Hitz dĂ©colle de l’aĂ©rodrome de Meiringen-Unterbach Ă  bord d’un Fieseler Stoch Fi 156. Ā 8 h 10, il largue un conteneur de survie d’une soixantaine de kg chargĂ© de pain frais, de fromage, de lard fumĂ©, ainsi qu’une bonbonne isotherme contenant dix litres de thĂ© chaud et du lait condensĂ©, du chocolat et des rĂ©chauds. Ā 8 h 20 apparaĂźt un deuxiĂšme Fi 156 pilotĂ© par le capitaine Hug, largue un poste radio, sur lequel on peut annoncer que la colonne de secours arrivera aux alentours de 14 h 00, des panneaux de signalisation ainsi qu’un code, pour que les naufragĂ©s puissent faire part de leur besoins urgents. En rĂ©ponse, ils demandent des vĂȘtements chauds, des couvertures en laine, des pansements et des mĂ©dicaments et rendent compte qu’il y a un blessĂ© grave. Nouvelle dĂ©mesure amĂ©ricaine À 9 h 00, le ciel est littĂ©ralement envahi par des avions militaires amĂ©ricains, britanniques et français qui larguent, depuis une altitude de 4 500 mĂštres, des paquets, Ă©quipĂ©s ou non, de parachutes. Malheureusement, ces paquets atterrissent dans un rayon de deux kilomĂštres, parfois au fond des crevasses, c’est-Ă -dire hors d’atteinte des naufragĂ©s. Tandis que les avions de reconnaissance suisses poursuivent leurs Ă©volutions juste en-dessous, ces vĂ©ritables bombardements mettent Ă©galement en danger les rescapĂ©s. Un sac de charbon tombant sur une aile du C-53, Harvey toujours lui trace dans la neige le mot FINI
 À 10 h 35, le capitaine Hug fait demander au lieutenant-colonel Bracher d’arrĂȘter les largages aĂ©riens. Vers midi, aprĂšs discussion avec un gĂ©nĂ©ral amĂ©ricain, la rĂ©gion du Gauli-Weterhorn est interdite au survol des avions alliĂ©s. Au sol
 Entretemps, la tĂȘte de la colonne arrive dans le hameau de Balm, c’est-Ă -dire au pied de la montĂ©e vers le glacier du Roselaui, oĂč les membres de la patouille s’encordent. Cependant, la progression est rendue difficile par les 80 centimĂštres de neige fraĂźche et les Ă©quipiers se relaient toutes les cinq minutes pour tracer une piste, parfois en s’enfonçant dans la neige jusqu’à la poitrine. Heureusement, les guides locaux connaissent les lieux, ce qui leur permet d’avancer dans des blocs de glace hauts comme des maisons. La reconnaissance des pilotes suisses permet de se rendre compte que la carcasse du C-53 amĂ©ricain ne se trouve pas dans le Wetterkessel, mais bien dans la partie supĂ©rieure du glacier du Gauli, au pied sud-est du Berglistock, Ă  3 350 d’altitude. Ā 8 h 25, Hug transmet le message suivant Les nouvelles coordonnĂ©es sont 163 700/657 100, les coordonnĂ©es 163 700/654 100 sont fausses ! » Les nouvelles coordonnĂ©es sont transmises Ă  la colonne de secours Ă  8 h 38. Cependant, le radio se trouvant assez loin de la tĂȘte de colonne, la nouvelle ne parvient aux Ă©claireurs qu’à 10 h 11. À 11 h 00, la colonne tente de joindre le PC de Rosenlaui, mais sans succĂšs Ă  cause de la topographie des lieux. La patrouille lĂ©gĂšre Reiss-Jost en action Ernst Reiss et Wilhelm Jost, deux jeunes alpinistes expĂ©rimentĂ©s en poste Ă  l’aĂ©rodrome de Meiringen, sont dĂ©signĂ©s par l’adjudant Hans Hutter, chef de la colonne de secours du DMP, comme Ă©claireurs-skieurs pour tracer vers Wetterlimmi. BientĂŽt, ils sont loin devant tandis que les avions de reconnaissance de l’Escadrille n° 10 les survolent pour leur indiquer la direction du crash. Les deux coĂ©quipiers dĂ©couvrent enfin l’épave 150 m plus bas, aprĂšs 13 heures d’ascension depuis Innertkirchen. Pour se signaler, Reiss entonne un Yodel [9] tonitruant. Quatre rescapĂ©s sautent de l’appareil et, levant les bras au ciel, lancent des hourras. À 14 h 21, les sauveteurs atteignent enfin la carcasse. Ils sont accueillis en sauveurs et, rapidement, une bouteille de Whisky fait la tournĂ©e. Tandis qu’on recouvre leurs Ă©paules de vestes en fourrure. Pour se comprendre, on parle français. Lorsque le gĂ©nĂ©ral Haynes leur demande la nationalitĂ© de Reiss, il lui faut quelques instants pour rĂ©aliser que l’avion s’est posĂ©, en catastrophe, sur un glacier de l’Oberland bernois. Une heure plus tard, c’est au tour de l’équipe des guides d’arriver sur les lieux en compagnie des trois mĂ©decins. AussitĂŽt, ces derniers prennent soin des naufragĂ©s. ImmĂ©diatement, il apparaĂźt que le bilan humain tient du miracle. En effet, aucune perte n’est Ă  dĂ©plorer et, hormis le sergent Folsom et le gĂ©nĂ©ral Haynes, l’atterrissage forcĂ© n’a occasionnĂ© que des blessures relativement lĂ©gĂšres. Cependant, les onze rescapĂ©s ont passĂ© quatre jours et quatre nuits en haute altitude et certains d’entre eux souffrent d’engelures. DeuxiĂšme colonne de secours ? Partie de Rosenlaui Ă  7 h 00, la deuxiĂšme colonne de secours, composĂ© des hommes de la 16e Compagnie de forteresse, atteint le Wetterkessel, Ă  2 800 mĂštres d’altitude, vers 13 h 30. ÉpuisĂ©s par la montĂ©e, suant et gelant Ă  la fois, les chaussures, les chaussettes et tous les vĂȘtements Ă©tant trempĂ©s
 Si seulement on avait emportĂ© des affaires de rechange ! On calme alors la faim avec des biscuits militaires. Il faudrait boire, mais cela fait longtemps que la gourde militaire est vide ou le contenu restant gelĂ©, lui aussi. On se dĂ©saltĂšre donc avec de la neige fraĂźche, dans tous les sens du terme. Vers 16 h 00, les militaires arrivent enfin sous le Renfenhorn et sont en vue du Wetterlimmi. Le lieutenant Walter Roduner, chef de colonne, ordonne une halte car ses hommes sont Ă©puisĂ©s, affamĂ©s et terriblement assoiffĂ©s. AccompagnĂ© d’un seul caporal, il grimpe sur le Wetterlimmi et, de lĂ , aperçoit enfin l’épave. Lentement, la colonne se remet en marche, certains soldats finissant littĂ©ralement sur les rotules. À 18 h 00, les derniers Ă©lĂ©ments de la colonne atteignent la carcasse de l’avion aprĂšs treize heures et trente minutes de marche, aprĂšs avoir parcouru une distance horizontale de neuf kilomĂštres, 2 500 mĂštres de dĂ©nivelĂ©e. Bagarre sous la carcasse Le repas chaud, prĂ©parĂ© par l’équipage de l’avion Ă  partir des boĂźtes de conserve, suffit Ă  peine pour 30 personnes, mais il reste du thĂ©. Heureusement, l’un des guides ayant eu la brillante idĂ©e de ramasser des paquets de nourriture au passage, le Cognac et le Whisky coulent Ă  flot. Dans l’appareil un point de situation se tient entre le gĂ©nĂ©ral Haynes, les mĂ©decins, le guide Hans Kohler, le lieutenant-colonel Herbert Wanner et le chef de la colonne de secours de la DMP, l’adjudant Hans Hutter. Le gĂ©nĂ©ral et les trois mĂ©decins prĂ©conisent de rejoindre immĂ©diatement le refuge le plus proche, mais les autres sont contre cette idĂ©e car les sauveteurs sont Ă©puisĂ©s. La nuit sans lune tombant, il serait irresponsable de se dĂ©placer sur un glacier crevassĂ©. Les sauveteurs suisses n’ont jamais vu une aussi grosse machine et elle leur semble un lieu de bivouac idĂ©al. Les AmĂ©ricains, en revanche, sont contre car ils craignent que la carlingue soit dĂ©stabilisĂ©e et tombe dans une crevasse. C’est pourquoi les mĂ©decins dĂ©cident que seuls les AmĂ©ricains resteront dans l’appareil, ce qui n’est pas du goĂ»t des soldats, qu’une nuit dans le froid n’enchante guĂšre. Bien qu’il ne soit pas question de discuter les ordres, l’alcool aidant, les commentaires vont bon train. On se rĂ©fugie donc dans des trous de neige tandis que les guides dĂ©limitent une zone de neige propre Ă  prĂ©server en tant que rĂ©serve d’eau potable. Entre 16 h 50 et 17 h 10, les deux Fieseler Storch survolent les lieux du crash et larguent une soixantaine de couvertures de laine. Par -15° et par un fort vent de glacier, certains sauveteurs improvisent un bivouac sous l’aile gauche et sous la queue de l’avion, les civiĂšres servant Ă  consolider des murs de neige. Toujours Ă  cause de la consommation immodĂ©rĂ©e d’alcool, on en vient aux mains et on rĂ©clame un commandement unique. Cependant, il est trop tard pour cela, d’autant plus que le coordinateur Ă  Meiringen-Unterbach doit faire face Ă  une cohorte de journalistes. Pendant la nuit, les mĂ©decins doivent prendre en compte des soldats souffrant de refroidissement et d’engelures, et les abritent dans la carcasse. Certains soldats se rĂ©fugient dans des abris de fortune en se collant cĂŽte-Ă -cĂŽte, tandis que d’autres se rĂ©chauffent toute la nuit devant un feu. Plusieurs fois dans la nuit, les cadres se relaient pour faire le tour des abris et vĂ©rifier que les soldats ne s’engourdissent pas en s’endormant. Pendant la nuit, dans le hangar de l’aĂ©rodrome de Meiringen-Unterbach, on change le moteur du Fieseler Storch A-97 et on Ă©quipe le deuxiĂšme Fi 156 de skis pour atterrir sur le glacier. Sauvetage en deux phases Le lendemain, dimanche 24 novembre, on dĂ©cide de faire mouvement dĂšs 8 h 00. Bien Ă©quipĂ©, le personnel du dĂ©pĂŽt militaire de Meiringen s’occupe des rĂ©chauds et prĂ©pare le thĂ©. DĂšs 6 h 30, la patrouille Reiss-Jost se met en route vers le refuge du Gauli-Urbachtal. Dans la vallĂ©e, comme il n’a toujours pas de liaison radio avec la colonne de secours, le capitaine Hug entreprend, Ă  6 h 45, une mission de reconnaissance au-dessus de l’épave. À 7 h 10, il largue une sacoche contenant la dĂ©pĂȘche suivante Atterrissage prĂ©vu sur la partie supĂ©rieure du glacier pour l’évacuation du personnel accidentĂ© ». Hans Hutter, le chef de la colonne de secours du DMP, signale au Fiseler Stoch Ne pas larguer de poste radio, colonne prĂȘte Ă  s’ébranler sur le glacier du Gauli vers l’Urbachtal. Pas de mort, tous les blessĂ©s sont transportables. Atterrissage du Fieseler Storch impossible ! » Si la mĂ©tĂ©o est Ă©claircie, les prĂ©visions le sont moins Ă  3 000 mĂštres d’altitude souffle un fort vent du sud-ouest. Dans le Haslital, on dit que ce Föhn qu’il engendre du beau temps, mais aussi des maux de tĂȘte. Les mĂ©decins soignent les blessĂ©s et changent une derniĂšre fois le pansement de Ralph Tate Jr. Sept AmĂ©ricains, parmi lesquels les deux femmes et la fillette, ainsi que le gardien de forteresse Marcel Etter, dont les pieds sont gelĂ©s, sont sanglĂ©s sur des traĂźneaux, chacun d’entre eux Ă©tant guidĂ© par huit Suisses tandis que l’alpiniste Franz von Bergen, Emil Barben et trois trinĂŽmes partent en Ă©claireurs pour tracer la piste. Une prioritĂ© dĂ©truire l’avion Andreas Ablanalp, mĂ©decin Ă  Meiringen, parle parfaitement l’anglais. Pendant les palabres sur les mesures Ă  prendre, les deux parties l’emploient comme traducteur. Soudain, il entend le gĂ©nĂ©ral Haynes donner l’ordre Ă  l’équipage d’activer les torches d’autodestruction pour incendier l’épave et de dĂ©truire les instruments de bord. AussitĂŽt, le pilote et le radio frappent les installations avec une hache, mais le lieutenant Roduner et l’adjudant mettent rapidement fin Ă  ce manĂšge. Le mĂ©decin explique au gĂ©nĂ©ral, ahuri, que l’avion est confisquĂ© par l’armĂ©e suisse et qu’il doit annuler son ordre de destruction dans les rĂšgles. Le gĂ©nĂ©ral s’exĂ©cute et se laisse mĂȘme sangler sur le traĂźneau. En revanche, le radio se rebelle et doit ĂȘtre entravĂ© par deux gardiens de forteresse. Enfin, on peut entamer la descente du glacier sous la conduite du guide du Hasli. À 8 h 20, la derniĂšre patrouille quitte la carcasse et se joint au gros de la troupe. Les traĂźneaux s’enfoncent lourdement dans la neige, ce qui demande beaucoup d’efforts pour avancer. AprĂšs deux heures de marche en direction du refuge du Gauli, la colonne se retrouve sur le mauvais plateau du glacier. Premier sauvetage aĂ©rien en haute montagne Les deux pilotes, Pista Hitz et Viktor Hug, se retrouvent Ă  8 h 00, aprĂšs le retour de ce dernier de sa mission de reconnaissance de l’aube, sur l’aĂ©rodrome de Meiringen-Unterbach. L’objet de ce meeting est de faire un point de situation et de dĂ©cider de la marche Ă  suivre concernant les sauvetages aĂ©riens. MalgrĂ© l’absence de liaisons radio, la situation est claire. GrĂące aux observations aĂ©riennes, les pilotes savent oĂč en est le moral et l’état physique des sauveteurs. Le transport des blessĂ©s par voie terrestre durera 36 heures supplĂ©mentaires Ă  travers des passages avalancheux vers l’Urbachtal. Les pilotes des Fi 156 savent que la mĂ©tĂ©o se dĂ©tĂ©riore et que la neige va tomber Ă  nouveau. Fort de leurs 200 atterrissages sur glacier et en toute connaissance de la situation, ils dĂ©cident de tenter l’évacuation au plus prĂšs de l’épave. Pendant sa reconnaissance du matin, le capitaine Hug a repĂ©rĂ© une aire de poser possible sur un replat situĂ© Ă  2 800 mĂštres d’altitude. Hug atterrira le premier, suivi de Hitz. Le gros de l’équipe de sauvetage se trouve sur la partie la plus haute de la langue de glace lorsque les deux Fiseler Storch apparaissent et larguent, Ă  hauteur de l’élĂ©ment de queue de colonne, une sacoche contenant un message. L’adjudant Hutter, en serre-file, apprend alors que les avions vont se poser. Il en rend compte Ă  son chef et la troupe commence Ă  sonder l’aire de poser avec les bĂątons de skis tandis qu’un fanion jaune attachĂ© Ă  un bĂąton de ski sert de manche Ă  air pour indiquer la direction du vent. À 10 h 30, le capitaine Hug atterrit sur roues Ă  2 850 mĂštres d’altitude, soit Ă  500 mĂštres de dĂ©nivelĂ©e sous l’épave et Ă  une trentaine de mĂštres de la colonne de secours. Trois minutes plus tard, aprĂšs avoir observĂ© l’atterrissage de son collĂšgue, le commandant Hitz atterrit dix mĂštre Ă  cĂŽtĂ© du premier avion avec, Ă  son bord, un passager de marque le gĂ©nĂ©ral amĂ©ricain Ralph Snavely, commandant les Forces aĂ©riennes sud-est de Vienne, dont l’épouse figure parmi les rescapĂ©s. Avant le dĂ©collage, le gĂ©nĂ©ral avait dit aux pilotes Je ne viens avec vous que si l’on n’atterrit pas ! » [10]. Le commandant Hitz s’était tu et le gĂ©nĂ©ral Ă©tait montĂ© dans l’avion. Au sol, les sauveteurs et les AmĂ©ricains n’en reviennent pas. L’atterrissage est parfait. AprĂšs avoir rapidement saluĂ©, Hug dĂ©signe l’adjudant Hans Hutter comme commandant de la position tandis que les Ă©lĂ©ments de secours se trouvant en contrebas sont rappelĂ©s vers l’aĂ©rodrome improvisĂ©, ce qui impose un nouvel effort d’une heure et demie, mais ouvre aussi la perspective d’une Ă©vacuation rapide par la voie des airs. Deux Ă©quipes encordĂ©es reconnaissent l’air de dĂ©collage sur le glacier. Les deux avions sont tournĂ©s en position de dĂ©part et le premier Ă  dĂ©coller est Ă©quipĂ© de skis. Le gĂ©nĂ©ral Haynes et le gardien de forteresse se trouvant Ă  proximitĂ© immĂ©diate, c’est eux qui embarquent pour la premiĂšre rotation. À 11 h 25, Hug dĂ©colle sur une longueur de 120 mĂštres et largue immĂ©diatement les skis pour que le second avion puisse s’en servir Ă  son tour. En douze minutes, le Fiseler Storch atterrit sur la base de Meiringen-Unterbach
 ImmĂ©diatement, les experts du DMP montent les skis sous les roues du second appareil. Le Sergent Folsom, qui souffre de plusieurs fractures et dont le transport nĂ©cessite de l’espace, est le seul passager de cette deuxiĂšme rotation, qui dĂ©colle Ă  11 h 56. À son retour, le capitaine Hug rapporte du thĂ© chaud, du pain frais et du fromage. Il fait grand beau et le moral revient, lui aussi, au beau fixe. Les soldats entonnent des champs montagnards Ă©maillĂ©s de Yodels tandis que, sur l’aĂ©rodrome d’accueil, des AmĂ©ricains bluffĂ©s par les sauveteurs helvĂ©tiques distribuent chocolat, chewing-gums et cigarettes. Vers midi, un train sanitaire amĂ©ricain arrive Ă  la gare d’Interlaken-Ouest en provenance de Vienne, via Munich, Stuttgart et BĂąle. Ce train se compose d’une locomotive et de deux wagons marquĂ©s de la croix rouge. Cependant, les voies Ă©tant plus Ă©troites en sortie de gare, impossible d’aller plus loin. Le mini pont aĂ©rien Gauli-Meiringen En huit rotations, les deux pilotes ramĂšnent tous les rescapĂ©s et membres d’équipage dans l’aprĂšs-midi. La plupart d’entre eux souffrant d’une pneumonie et de fiĂšvre, il Ă©tait grand temps de se retrouver entre les mains des soignants. Pendant son dernier vol de 17 h 05, le commandant Hitz rapporte les effets personnels des AmĂ©ricains qui se trouvaient sur l’un des traĂźneaux. En reconnaissance des services rendus, l’adjudant Hutter est autorisĂ© Ă  faire partie de la derniĂšre rotation. LES SUITES DE LA CATASTROPHE AprĂšs la seconde guerre mondiale, du fait de la rĂ©elle collaboration, Ă©conomique et industrielle, de la ConfĂ©dĂ©ration HelvĂ©tique CH avec le IIIe Reich, les relations diplomatiques entre la Suisse et les États-Unis d’AmĂ©riques ne sont pas au beau fixe. Sans le secours admirable des Suisses, nos gens seraient encore lĂ -haut. L’action suisse de secours a accompli une performance remarquable, dans les conditions les plus difficiles ! » InterviewĂ© par un journaliste de la Gazette de Lausanne, le gĂ©nĂ©ral Tate, dont l’épouse et le fils Ă©taient Ă  bord de l’appareil, ne tarit pas d’éloge sur la maniĂšre dont l’opĂ©ration de sauvetage a Ă©tĂ© menĂ©e. Mais si les autoritĂ©s amĂ©ricaines mettent surtout en avant le courage et l’audace des deux pilotes suisses, le capitaine Hug et le major Hitz, saluĂ©s en hĂ©ros, PDM rend hommage aux deux Ă©claireurs-skieurs, Ernst Reiss[i] et Wilhelm Jost, en poste Ă  l’aĂ©rodrome de Meiringen, qui ont assurĂ© la jonction avec les naufragĂ©s. GrĂące Ă  cette opĂ©ration de sauvetage, les relations diplomatiques se rĂ©chauffent entre les deux pays, principalement du fait d’une large couverture mĂ©diatique donnant Ă  l’évĂ©nement un retentissement international. Ainsi, dix ans plus tard, en 1956, la Suisse peut proposer son aide dans le cadre de la mission de secours montĂ©e aprĂšs une collision aĂ©rienne au-dessus du Grand Canyon. Cependant, la principale consĂ©quence de cet accident est la rĂ©elle prise de conscience de la nĂ©cessitĂ© d’organiser les secours en montagne. C’est ainsi que la Swiss Air Rescue Guard la Rega [12] naĂźt en 1952. En 2012 et en 2018, des dĂ©bris de l’appareil Ă©mergent du glacier du Gauli et sont ramassĂ©s par l’armĂ©e de terre suisse. ÉlĂ©ments recueillis par Bernard Amrhein RĂ©cupĂ©ration de l’un des moteurs du C-53 Skytrooper » NOTES [1] Organisme chargĂ©e du transport des militaires amĂ©ricains en Europe. [2] Outre le capitaine Ralph H. Tate Jr., l’équipage se compose du sous-lieutenant Irwing Matthews copilote, du sergent Louis Hill radio-navigateur et du mĂ©canicien Wayne G. Folsom. Les passagers sont Marguerite Tate, la mĂšre du pilote, Alberta Snavely Ă©pouse du gĂ©nĂ©ral de brigade Ralph Snavely, le gĂ©nĂ©ral de brigade Loyal M. Haynes et son Ă©pouse Lona, George Harvey le seul civil du groupe, le colonel William C. McMahon, son Ă©pouse et sa fille Alice-Mary. Dans une interview publiĂ©e dans le magazine australien The Argus neuf ans aprĂšs l’accident, cette derniĂšre raconte J’ai posĂ© mon magazine pour jeter un Ɠil par le hublot, mais je ne plus rien voir. Il y a eu un choc trĂšs violent. Je me suis retournĂ©e et j’ai vu Madame Snavely qui tentait d’endosser un parachute Ă  la portiĂšre de l’avion. Monsieur Harvey força la portiĂšre et Madame Snavely sauta. Lorsque j’atteignis la portiĂšre, j’entendis Madame Snavely dire Oh, ces montagnes suisses sont faites de neige ! » Elle Ă©tait enfoncĂ©e dans la neige jusqu’aux Ă©paules. Alors, j’ai sautĂ© aussi, mais sans parachute. » [3] Le Douglas C-53 Skytrooper est une des nombreuses versions militaires du Douglas DC-3. NumĂ©riquement la plus importante aprĂšs le C-47 Skytrain, c’est aussi la plus proche du modĂšle commercial d’origine, car elle ne comporte pas de porte cargo, Ă©tant exclusivement rĂ©servĂ©e au transport de personnel. [4] Qui dĂ©cĂšdera en mai 2009, Ă  l’ñge de 88 ans. [5] Un vent catabatique, du grec katabatikos qui veut dire descendant la pente, est un vent gravitationnel produit par le poids d’une masse d’air froid dĂ©valant un relief gĂ©ographique. [6] “I see the dark lines under us, very fast, and then – I understand later, they were crevasses, they automatically became a glacier. I did not know what it was. I just know we were very close to it. Because they went by so fast, I said we are in the mountains. So I reach up and throw the throttles fore and I reach the propellers fore and the mixtures fore and I pull the yoke back. My copilot was sitting over here, he thougt I got a vertige, he was holding his yoke like this, that keep me from going up, that is dangerous, because it could stall, and I reach over and I get him out of control, and almost, as quickly as I said that, we are in the ground.” [7] L’EKW C-36 EKW pour Eidgenössische Konstruktions WerkstĂ€tte/Ateliers fĂ©dĂ©raux de construction, Ă  Thoune, Canton de Soleure est un avion monomoteur biplace en tandem, monoplan Ă  ailes basses, bi-dĂ©rive et train escamotable. [8] Le nom Snowcat » provient de la marque de commerce de 1946 de Tucker Sno-Cat Corporation. Ce vĂ©hicule spĂ©cialisĂ© sur la neige a dominĂ© le marchĂ© du transport de la neige jusqu’aux annĂ©es 1960, lorsque d’autres fabricants se sont lancĂ©s dans l’entreprise. À ce moment-lĂ , Snowcat » Ă©tait une description si courante qu’elle Ă©tait utilisĂ©e pour dĂ©crire tous les vĂ©hicules sur neige voir marque gĂ©nĂ©rique. Tucker est Ă©galement bien connu pour son utilisation de quatre chenilles sur ses vĂ©hicules. Tucker Sno-Cat est sans doute le plus connu des premiers fabricants et reste en activitĂ© aujourd’hui. Les Tucker Sno-Cats ont Ă©tĂ© utilisĂ©s par de nombreuses agences et services publics militaires et gouvernementaux. [9] [10] L’armĂ©e suisse avait testĂ© les atterrissages sur neige dĂšs l’hiver 1944-1945. Roger Cornioley section Schneelandungen der Schweizer Flugwaffe im Hochgebirge’ pdf, pages 27 et 28. [11] NĂ© en 1920, Ernst Reiss a Ă©tĂ© membre d’honneur de la section du Club alpin suisse CAS de Oberhasli. C’était un alpiniste douĂ© et un homme d’audace et de persĂ©vĂ©rance. En tant que membre de l’expĂ©dition suisse couronnĂ©e de succĂšs dans l’Himalaya, il a effectuĂ© la premiĂšre ascension du Lhotse avec Fritz Luchsinger le 18 mai 1956. Il a Ă©galement Ă  son palmarĂšs l’ouverture de 22 voies d’escalade sur trois continents. [12] Swiss Air-Rescue German Schweizerische Rettungsflugwacht, French Garde aĂ©rienne suisse de sauvetage, Rega is a private, non-profit air rescue service that provides emergency medical assistance in Switzerland and Liechtenstein.[3][4] Rega was established on 27 April 1952 by Dr Rudolf Bucher, who believed the Swiss rescue organization needed a specialized air sub-section[5]. Rega mainly assists with mountain rescues, though it will also operate in other terrains when needed, most notably during life-threatening emergencies. Rega also provides a repatriation and medical advice service for members who experience a medical emergency while abroad and local treatment is not available. SOURCES Der Flugzeugabsturz einer amerikanischen Dakota auf dem Gauligletscher im November 1946 vor 60 Jahren war das Haslital Schauplatz der grössten alpinen Rettungsaktion » Il y a 60 ans, le Haslital vallĂ©e de l’Hasli, lieu du crash aĂ©rien d’un C-53 amĂ©ricain sur le glacier du Gauli en novembre 1946, Ă©tait le théùtre de la plus grande opĂ©ration de sauvetage alpine. Auteur NĂ© en 1943, Roger Cornioley, membre du conseil d’administration de l’association d’histoire du Canton de Berne, a grandi Ă  Meiringen. En tant que membre actif, pendant des annĂ©es, de la section du Club alpin suisse CAS de Oberhasli et agent au sein de l’ancienne compagnie de fusiliers de montagne III/40 Gebirgs-FĂŒsilier-Kompanie III/40, il connaissait personnellement la rĂ©gion du Wetterhorn-et du glacier du Gauli et maĂźtrisait parfaitement les contraintes militaires en montagne. Crash dans les Alpes. Sophie Meyer pour les Archives de la RTS. Air Crash Investigation C 53 Skytrooper crash on the Gauli Glacier 2018 Bruchlandung auf dem Gletscher – Dokumentation von NZZ Format 1998. En 1998, NZZ-Format a organisĂ©, en Suisse, la premiĂšre rencontre entre le pilote du C-53 et ses sauveteurs
 1946 C-53 Skytrooper crash on the Gauli Glacier. This WWII Plane Lay Frozen in Time for 72 Years – But Then A Heatwave Uncovered Its Secrets, By Ken MacDonald, July 20, 2020. AstucesJeux est un site vous prĂ©sentant plusieurs jeux disponibles sur mobile ou sur tablette. En plus de cela, dĂ©couvrez la solution de tous ces jeux entiĂšrement gratuitement. Solution de jeux mobile. Terrain oĂč les avions dĂ©collent et atterrissent - Codycross . Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des
Description dĂ©taillĂ©e des rushes Au camp d'aviation de Chaudun, Aisne, le 25 mai 1917, une troupe de comĂ©diens donne un spectacle devant le personnel du terrain d'aviation. Un plan panoramique montre la foule des spectateurs en contrejour depuis le fond du hangar puis la scĂšne dĂ©corĂ©e de motifs orientaux. Une comĂ©dienne se tient sur le devant de la scĂšne, tenant un sous-vĂȘtement fĂ©minin. A l’extĂ©rieur, le personnel de la base aĂ©rienne dĂ©ambule entre les avions en compagnie des comĂ©diens. Des enfants sont prĂ©sents. Les comĂ©diennes posent avec des fleurs aux cĂŽtĂ©s des officiers du camp d'aviation devant un appareil de chasse SPAD S-VII, tout en observant l’évolution des appareils dans le ciel. Parmi les artistes se trouvent la chanteuse EdmĂ©e Favart, l’actrice Jeanne Delvair, de la ComĂ©die-Française et peut-ĂȘtre Melle Zambelli, une danseuse. Lucien Boyer chansonnier aux armĂ©es » est Ă©galement prĂ©sent TC 000107, au centre avec un bĂ©ret.Toujours Ă  Chaudun, plusieurs pilotes posent successivement prĂšs des appareils, les deux premiers avec des Nieuport 17 et tous les autres avec des SPAD S-VII le lieutenant Jean Lavidalie de l’escadrille 462 TC 000220 dans le cockpit, se recoiffant en souriant devant l’objectif devenu capitaine, il commandera l’escadrille au 3e trimestre 1917,le lieutenant Pierre de Charant TC 00 02 34, de la mĂȘme escadrille, qu’il commandera en janvier 1918, les lieutenants de Sevin, dans le cockpit, et de Villeneuve, de l’escadrille 461, debout Ă  cĂŽtĂ© de l’appareil TC 000253, les marĂ©chaux des Logis Billiet et Maraval escadrille 66 ensemble TC 000308, le capitaine Alexandre Gourlez TC 000314, qui a prĂ©cĂ©demment commandĂ© l’escadrille 461 et commande Ă  ce moment l’escadrille 463,le lieutenant Malterre TC 000329, l’adjudant Jaillier, de l’escadrille 15 TC 000339 en tenue de vol dans le cockpit, les lieutenants Maurice et Louis SĂ©journĂ© TC 000401 debout Ă  cĂŽtĂ© d’un appareil, arborant leur croix de guerre, et le lieutenant Privas avec son chien TC 000417, juchĂ© sur le nez de l’ un terrain d'aviation, plusieurs appareils de chasse et d'observation dĂ©collent et atterrissent. Un Nieuport 17 dĂ©colle, suivi par un SPAD S-VII. Un Caudron G4 dĂ©colle, fait des loopings et atterrit TC 000516 Ă  000714. Un avion bombardier Salmson-Moineau SM1 dĂ©colle. Avant une mission, les pilotes se retrouvent autour d'un avion de chasse Morane Saulnier type P Parasol ornĂ© de l'insigne de l'escadrille 228 un coq dans un Ă©cusson barrĂ© d'une bande bleue et commandĂ© par le capitaine Edmond Verdier. Les scĂšnes sont peut-ĂȘtre Ă  Treslon, le 27 avril 1917. Le pilote embarque dans le cockpit, puis le tireur qui vĂ©rifie la tourelle. Le capitaine Paul Malavialle, commandant l’escadrille 69 embarque dans son SPAD S-VII TC 000825 peint de son insigne personnelle, et regarde la camĂ©ra avant de dĂ©coller pour une mission TC 000826. Sur un terrain d’aviation de la rĂ©gion de Reims, probablement Treslon, en mai 1917, les mĂ©caniciens prĂ©parent pour le dĂ©collage un Salmson-Moineau SM1 de l'escadrille 41 disque rouge dans un fanion blanc, TC 000914. Le mitrailleur de tĂȘte grimpe dans le nez de l’appareil et manipule la tourelle ; vue de trois-quarts arriĂšre de l’avion ; les mitrailleurs de tĂȘte et de queue rĂšglent leurs mitrailleuses Lewis d’aviation. Les mĂ©caniciens basculent l’appareil et l'Ă©quipage rejoue une attaque contre un chasseur en actionnant les armes embarquĂ©es. Sous l'appareil, une trappe s'ouvre, laissant apparaĂźtre une mitrailleuse. 1Notes comptes rendus de tournage n°277 d’AmĂ©dĂ©e Eywinger Ă  Chaudun Aisne en juin 1917, et n° 179 d’Alphonse WĂ©ber le 27/04/1917 Ă  Treslon Marne.1 MĂȘme scĂšne sur les films B 608 et B les reportages photographiques SPA 16 BO, SPA 75 S et 76 S, SPA 81 R 3028 le Salmson-Moineau de l’escadrille 41.
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Vousavez droit Ă  une compensation. L’indemnisation due en cas de retard dĂ©pend de la distance du vol. Elle est de : 250€ pour des vols jusqu'Ă  1500 kilomĂštres, 400€ pour des vols entre 1500 et 3500 km, 600€ au-delĂ  de 3500 km, Ă  condition d'avoir au moins 4 heures de retard (300 € pour un retard entre 3 et 4 heures).

français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche planes taking off and landing planes take off and land Depuis que je suis seule, avec trois bouteilles d'eau, j'ai vu une multitude d'avions dĂ©coller et atterrir. A travers les jumelles multimĂ©dias de la Terrasse panoramique B, vous dĂ©tecterez les avions dĂ©coller et atterrir. Through the multimedia binoculars on Panoramic Terrace B, you'll be able to detect the planes taking off and landing. Du cĂŽtĂ© de l'aĂ©roport, oĂč les enfants adorent regarder les avions dĂ©coller et atterrir. Il est proche de l'aĂ©roport, et vous pouvez voir les avions dĂ©coller et atterrir, mais il n'y avait pas de bruit inquiĂ©tant. It is close to the airport, and you can see the planes take off and land, but there was no disturbing noise. Profitez d'une gastronomie variĂ©e au grĂ© de vos goĂ»ts et envies tout en observant les avions dĂ©coller et atterrir. Le nouveau terminal, conçu par l'architecte Luis Vidal, est beaucoup plus aĂ©rĂ© et plus lumineux que l'ancien, grĂące aux grandes fenĂȘtres, qui permettent aussi de voir les avions dĂ©coller et atterrir. The new Terminal, designed by the architect Luis Vidal, is much airier and brighter than the old one, thanks to the big windows, that also allow people to see the planes taking off and landing. Pour un spectacle inĂ©dit, rendez-vous Ă  la plage de Saint-Jean on y voit les avions dĂ©coller et atterrir au ras de l'eau ! For a new show, go to the beach of Saint-Jean we see planes take off and land at the water's edge! Nouvelle Écosse, Canada. Cette webcam qui est installĂ©e sur le toit du bĂątiment principal de l'aĂ©roport d'Halifax permet de voir les avions dĂ©coller et atterrir, venir et partir des dĂ©barcadĂšres et circuler sur lSOURCE This webcam which is installed on the roof the main building of the Halifax Airport allows to see the planes take off and land, as well come and go to the landing stages and drive on the airfield. Elle me suppliait d'aller voir les avions dĂ©coller et atterrir. Non ; elle voulait rester Ă  l'aĂ©roport pour voir les avions dĂ©coller et atterrir sans qu'une catastrophe se produise. No; she wanted to spend time at the airport to see that the planes took off and landed without anything awful happening. J'aime dire que les enfants qui ont regardĂ© les avions dĂ©coller et atterrir le long des clĂŽtures d'aĂ©roports n'ont jamais vraiment grandi. I like to say that generations of kids crowded along an airport fence watching planes come and go have never really grown up. L'aĂ©roport de Bruxelles a un Ă©tage nous permettant de voir les avions dĂ©coller et atterrir, c'est mieux que Dorval Ă  MontrĂ©al. The Brussels airport have a place where we can look at planes land and take off, it's better than in the Montreal's Dorval airport. Faites une pause et rendez-vous au dernier Ă©tage du Miami Airport Hotel, oĂč vous pourrez regarder les avions dĂ©coller et atterrir. Take a break and visit the top floor of the Miami Airport Hotel, where you can watch the airplanes take off and land. La ville est immense, toute illuminĂ©e, et de notre point de vue nous pouvons voir les avions dĂ©coller et atterrir sur la piste qui borde la ville, dans un ballet continu. The city is huge, all illuminated, and we watch the continuous ballet of airplanes taking of and landing on the runway bordering the city. Rappelez-vous votre enfance, lorsque vous regardiez les avions dĂ©coller et atterrir, ou encore lorsque vous vous rendiez Ă  l'aĂ©roport pour y accueillir famille ou amis et Ă©tiez immĂ©diatement intriguĂ© par le fonctionnement interne des sociĂ©tĂ©s aĂ©riennes. Think back to childhood days when you watched airplanes take-off and land. Or when you went to an airport to meet family or friends and immediately became intrigued with the inner workings of airline. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 16. Exacts 16. Temps Ă©coulĂ© 88 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots frĂ©quents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200

Traductionde "décollé" en italien. La Pologne "a décollé". La Polonia "ha decollato". L'avion a décollé de Londres la nuit derniÚre. L'aereo Ú decollato da Londra la notte scorsa. Mais son avion n'a pas décollé. Ma qui dice che l'aereo non Ú partito. On ne publiera ces photos qu'une fois que le Président aura décollé.
A 17 ans, le Britannique-Belge Mack Rutherfold est devenu mercredi le plus jeune Ă  avoir effectuĂ© le tour du monde en planeur propulsĂ© ultra-lĂ©ger ULM. L’appareil, modifiĂ© pour l’occasion, avait une vitesse de croisiĂšre de 300 km/h. Le jeune homme a traversĂ© 52 pays au cours de son pĂ©riple, qu’il a bouclĂ© en cinq mois. Il s’était dĂ©jĂ  fait remarquer en 2020, aprĂšs avoir obtenu son brevet de pilote Ă  tout juste quinze ans, un autre record. SommairePourquoi voler en ULM ?Quelle est la fonction d’usage d’un ULM ?Est-ce qu’un ULM Ă  un moteur ?Comment fonctionne un ULM ?Pourquoi faire un vol en ULM ?Quel distance peut parcourir un ULM ?Pourquoi ULM ?OĂč Peut-on voler avec un ULM ?Quel ULM pour voyager ?Quel distance peut parcourir un ULM ?Comment s’habiller pour faire de l’ULM ?Quelle distance Peut-on parcourir en ULM ?Quelle distance Peut-on parcourir avec un paramoteur ?Quelle est la vitesse d’un ULM ?Quel est le plafond de vol d’un ULM ?Quelle distance Peut-on parcourir en ULM ?Quel budget pour un ULM ?Comment s’habiller pour faire de l’ULM ?Comment atterrir en ULM ?Quel budget pour un ULM ?Quel est l’ULM le moins cher ?Quel ULM pour dĂ©buter ?OĂč atterrir avec un ULM ?Quel distance peut parcourir un ULM ?Quel ULM pour voyager ?Quel type d’ULM choisir ?Quel type d’ULM ?Quelle est la diffĂ©rence entre un ULM et un paramoteur ?Quel est l’ULM le moins cher ?Quel ULM pour dĂ©buter ?Quel est le meilleur des ULM ?Quel est le meilleur des ULM ?Quel est le prix d’un ULM ?Quel distance peut parcourir un ULM ?Comment se pilote un ULM pendulaire ?Comment faire dĂ©coller un ULM ?Quel est le prix d’un ULM ?Quelle distance peut parcourir un ULM ?Comment vole un pendulaire ?C’est quoi un ULM pendulaire ?Comment voler avec un ULM ?Quel permis pour piloter un ULM ?Quel est l’ULM le plus sĂ»r ? Pourquoi voler en ULM ? Biplace, l’ULM permet de voler en toute intimitĂ© avec le pilote et/ou le passager. Vous dĂ©couvrirez les paysages sous un nouvel angle. LĂ©ger et optimisĂ© pour un seul passager, l’ULM vole dans une moindre mesure en silence, de quoi apprĂ©cier encore plus le panorama qui s’observe autour de vous. A quoi ressemble un vol en ULM ? Bien que plus silencieux que les avions ou les hĂ©licoptĂšres, les ultra-lĂ©gers nĂ©cessitent une communication radio pour des raisons de sĂ©curitĂ©. En effet, un pilote d’ULM utilise la radio pour les mĂȘmes raisons qu’un pilote d’avion donner sa position et informer les autres vĂ©hicules aĂ©riens de sa prĂ©sence. Quelle est la fonction d’usage d’un ULM ? Un ULM est un avion », c’est-Ă -dire un appareil qui vole, avec des caractĂ©ristiques particuliĂšres que l’on peut rĂ©sumer comme suit C’est au maximum un appareil biplace, il ne peut transporter qu’un seul passager en plus du conducteur. Est-ce qu’un ULM Ă  un moteur ? Un ULM motorisĂ©, communĂ©ment appelĂ© ULM, est un aĂ©ronef ULM Ă©quipĂ© d’un moteur et dont les conditions particuliĂšres de navigabilitĂ© sont simplifiĂ©es par rapport Ă  la certification d’un avion lĂ©ger et soumis Ă  une licence de pilote plus simple que celle de pilote privĂ©. Pour descendre plonger », le pilote tire le trapĂšze vers lui pour dĂ©placer son poids vers l’avant. La manƓuvre inversĂ©e avec le trapĂšze et le poids, vers l’arriĂšre, permet de relever l’ULM pitch up ». La plupart des modĂšles voient Ă©galement un petit levier qui contrĂŽle la puissance du moteur. Pourquoi faire un vol en ULM ? DĂ©coller et atterrir en toute flexibilitĂ© L’avantage d’un ULM est qu’il n’a pas besoin d’aĂ©roport ou d’aĂ©rodrome pour dĂ©coller et atterrir. Il existe des bases ULM avec autorisations obligatoires, mais dans l’idĂ©e, c’est dĂ©jĂ  un peu plus gratuit que l’avion ! Quel distance peut parcourir un ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacitĂ© d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 Ă  plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui Ă©quivaut Ă  traverser la France et mĂȘme plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. Pourquoi ULM ? L’ULM est une classe d’avions ultra-lĂ©gers » qui respecte des rĂšgles de puissance maximale par exemple, 100 ch maximum pour un biplace multi-axes et une masse maximale au dĂ©collage qui est passĂ©e Ă  500 kg sans parachute et 525 kg avec parachute. OĂč Peut-on voler avec un ULM ? * Un ULM peut occasionnellement dĂ©coller et atterrir sur un terrain aux caractĂ©ristiques suffisantes terrain dĂ©couvert, 200 Ă  300 m de long et 20 de large Ă  condition d’avoir l’autorisation de son propriĂ©taire ou de son ayant cause et d’en aviser le maire local. Quel ULM pour voyager ? Le meilleur rapport qualitĂ©/prix du marchĂ© L’A22L2 est un ULM multiaxes Ă  voilure haute qui est fabriquĂ© selon les mĂȘmes mĂ©thodes, outils et matĂ©riaux qu’un avion certifiĂ©. L’A22L2 est la derniĂšre Ă©volution de l’A22 dans sa configuration ULM, un appareil dĂ©jĂ  produit Ă  plus de 500 exemplaires. Quel distance peut parcourir un ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacitĂ© d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 Ă  plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui Ă©quivaut Ă  traverser la France et mĂȘme plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. 2 personnes le pilote et un passager. Comment s’habiller pour un vol ? Cela dĂ©pend de l’altitude, mais il est gĂ©nĂ©ralement recommandĂ© d’apporter des chaussures fermĂ©es, des chaussettes, un pantalon et un pull. Quel poids faire en ULM ? ULM d’une masse maximale de 500 kg et d’une masse Ă  vide de 305 kg. L’ULM peut emporter au maximum 500 Ăą 305 = 195 kg d’occupants, bagages, lest amovible et carburant. Quelle distance Peut-on parcourir en ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacitĂ© d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 Ă  plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui Ă©quivaut Ă  traverser la France et mĂȘme plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. Quelle distance Peut-on parcourir avec un paramoteur ? La distance maximale qu’un paramoteur peut raisonnablement parcourir est d’environ 200 milles, mais la plupart des vols en paramoteur ne couvrent qu’environ 10 milles. Certains pilotes de paramoteur peuvent parcourir des centaines de kilomĂštres en s’arrĂȘtant pour faire le plein lors de longs trajets. Quelle est la vitesse d’un ULM ? À quelle vitesse volons-nous ? Les ULM basculants utilisĂ©s par Kapitaine ULM ont des plages de vitesse de vol allant de 70 km/h Ă  120 km/h. Notre vitesse de croisiĂšre sera d’environ 90 km/h. Quel est le plafond de vol d’un ULM ? L’altitude rĂ©glementaire maximale est de 19 500 pieds environ 5 950 m. En pratique, le plafond dĂ©pend des qualitĂ©s de l’engin plus on monte haut, moins l’air est dense et donc capable de porter » l’avion, qui doit alors dĂ©velopper plus de puissance pour continuer Ă  monter. Quelle distance Peut-on parcourir en ULM ? Certains ULM rĂ©cents peuvent thĂ©oriquement parcourir plus de 1 000 km en une seule fois ! La distance maximale parcourue par un ULM varie fortement selon le type d’avion et la quantitĂ© de carburant disponible. Quel budget pour un ULM ? Le budget En effet, la fourchette de prix est trĂšs large, entre 15 000 € pour un kit de base et 120 000 € pour un appareil dit haut de gamme. Par consĂ©quent, il est nĂ©cessaire de s’habiller chaudement ; veste et Ă©charpe sont nĂ©cessaires ainsi que des gants en hiver. PrĂ©fĂšre les chaussures de sport aux talons aiguilles » pour les dames. Un casque en cuir et des lunettes sont fournis pour le vol. Atterrissage paramoteur ULM AprĂšs avoir abordĂ© la zone d’atterrissage, Ă  environ 30 m du sol et face au vent, le pilote arrĂȘte son moteur en gardant la bonne direction et la vitesse maximale, puis entame sa descente vers le point d’atterrissage. Comment s’habiller pour un vol en ULM ? Par consĂ©quent, il est nĂ©cessaire de s’habiller chaudement ; veste et Ă©charpe sont nĂ©cessaires ainsi que des gants en hiver. PrĂ©fĂšre les chaussures de sport aux talons aiguilles » pour les dames. Un casque en cuir et des lunettes sont fournis pour le vol. Quel budget pour un ULM ? Le budget En effet, la fourchette de prix est trĂšs large, entre 15 000 € pour un kit de base et 120 000 € pour un appareil dit haut de gamme. Quel est l’ULM le moins cher ? Le moins cher reste le paramoteur avec brevet, qui coĂ»te gĂ©nĂ©ralement 2 000 €, suivi du pendule, dont le prix oscille entre 2 500 € et 3 000 €. Quel ULM pour dĂ©buter ? Un pendule de type GTE ou Biplum comme un Weedhopper 3 axes, AX-3 ou Wallaby seront des sources d’apprentissage immĂ©diatement accessibles et des merveilles de complicitĂ© pour un pilote dĂ©butant. OĂč atterrir avec un ULM ? Un ULM peut occasionnellement dĂ©coller et atterrir sur un terrain aux caractĂ©ristiques suffisantes terrain dĂ©couvert, 200 Ă  300 m de long et 20 de large Ă  condition d’avoir l’autorisation de son propriĂ©taire ou ayant cause et d’en aviser le maire de la commune. Un tel terrain est appelĂ© aĂ©rosurface ». Quel distance peut parcourir un ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacitĂ© d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 Ă  plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui Ă©quivaut Ă  traverser la France et mĂȘme plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. Quel ULM pour voyager ? Le meilleur rapport qualitĂ©/prix du marchĂ© L’A22L2 est un ULM multiaxes Ă  voilure haute qui est fabriquĂ© selon les mĂȘmes mĂ©thodes, outils et matĂ©riaux qu’un avion certifiĂ©. L’A22L2 est la derniĂšre Ă©volution de l’A22 dans sa configuration ULM, un appareil dĂ©jĂ  produit Ă  plus de 500 exemplaires. Quel type d’ULM choisir ? Classe 1 ParamoteurClasse 2 PenduleClasse 3 MultiaxesClasse 4 AutogireClasse 5 AĂ©rostatClasse 6 HĂ©licoptĂšre Quel budget pour un ULM ? Le budget En effet, la fourchette de prix est trĂšs large, entre 15 000 € pour un kit de base et 120 000 € pour un appareil dit haut de gamme. Quel type d’ULM ? Il existe 6 classes d’ULM 1 – Le – Le – – L’autogire – L’aĂ©rostat L’hĂ©licoptĂšre L’hĂ©licoptĂšre ultra-lĂ©ger. Quelle est la diffĂ©rence entre un ULM et un paramoteur ? La vitesse d’un ULM varie entre 30 km/h pour un paramoteur, jusqu’à prĂšs de 300 km/h pour le multiaxe le plus rapide ! La plupart des passagers volent entre 90 et 120 km/h, les multi-essieux volent entre 100 et 200 km/h. Quel est l’ULM le moins cher ? Le moins cher reste le paramoteur avec brevet, qui coĂ»te gĂ©nĂ©ralement 2 000 €, suivi du pendule, dont le prix oscille entre 2 500 € et 3 000 €. Quel ULM pour dĂ©buter ? Un pendule de type GTE ou Biplum tel qu’un Weedhopper 3 axes, AX-3 ou Wallaby seront des sources d’apprentissage immĂ©diatement accessibles et des merveilles de complicitĂ© pour un pilote dĂ©butant. Quel est le meilleur des ULM ? Le meilleur rapport qualitĂ©/prix du marchĂ© L’A22L2 est la derniĂšre Ă©volution de l’A22 dans sa configuration ULM, un avion dĂ©jĂ  produit Ă  plus de 500 exemplaires. L’A22L2 est l’avion tout-terrain par excellence de par sa polyvalence, son large domaine de vol et son rapport qualitĂ©/prix exceptionnel. Quel est le meilleur des ULM ? Le meilleur rapport qualitĂ©/prix du marchĂ© L’A22L2 est la derniĂšre Ă©volution de l’A22 dans sa configuration ULM, un avion dĂ©jĂ  produit Ă  plus de 500 exemplaires. L’A22L2 est l’avion tout-terrain par excellence de par sa polyvalence, son large domaine de vol et son rapport qualitĂ©/prix exceptionnel. Quel est le prix d’un ULM ? Les prix varient fortement selon le type d’ULM et sa qualitĂ© de fabrication. La pendule ci-dessus, de la marque AirBorne haut de gamme, coĂ»te environ 40 000 euros. Quel distance peut parcourir un ULM ? 5. Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leur capacitĂ© d’emport de carburant, peuvent parcourir de 500 Ă  plus de 1 000 km en une seule fois, ce qui Ă©quivaut Ă  traverser la France et mĂȘme plus. Selon le type d’avion, l’autonomie de vol varie entre 2 et 8-10 heures. Pour monter il faut pousser le cadre et pour descendre il faut le tirer. La transition flat/ulma pendule se fait en douceur. Un pendule est pilotĂ© par le dĂ©placement du centre de gravitĂ©. Le centre de gravitĂ© est sous le deltaplane, comme un pendule. Comment conduire un ULM ? Conditions d’obtention Pour obtenir la licence de pilote ULM, quelle que soit la classe dont il s’agit, il faut – Etre ĂągĂ© d’au moins 15 ans ; – Être en possession du certificat thĂ©orique de tronc commun, dĂ©livrĂ© par l’Aviation Civile. C’est un examen sous forme de QCM 60 questions, 1h30. Un ULM peut occasionnellement dĂ©coller et atterrir sur un terrain aux caractĂ©ristiques suffisantes terrain dĂ©couvert, 200 Ă  300 m de long et 20 de large Ă  condition d’avoir l’autorisation de son propriĂ©taire ou ayant cause et d’en aviser le maire de la commune. Un tel terrain est appelĂ© aĂ©rosurface ». Quel est le prix d’un ULM ? Les prix varient fortement selon le type d’ULM et sa qualitĂ© de fabrication. La pendule ci-dessus, de la marque AirBorne haut de gamme, coĂ»te environ 40 000 euros. Quelle distance peut parcourir un ULM ? Certains ULM rĂ©cents peuvent thĂ©oriquement parcourir plus de 1 000 km en une seule fois ! La distance maximale parcourue par un ULM varie fortement selon le type d’avion et la quantitĂ© de carburant disponible. Un mouvement latĂ©ral gauche ou droite du pendule incline l’aile, provoquant un virage dans cette direction. Pour descendre plonger », le pilote tire le trapĂšze vers lui pour dĂ©placer son poids vers l’avant. C’est quoi un ULM pendulaire ? Un pendule est un avion ultralĂ©ger propulsĂ© ULM ou un planeur ultralĂ©ger propulsĂ© auxiliaire PULMA qui est pilotĂ© en dĂ©plaçant le centre de gravitĂ©. L’ultra-lĂ©ger est un vol Ă  vue » ; c’est-Ă -dire voler de jour 30 minutes avant le lever du soleil et 30 minutes aprĂšs le coucher du soleil hors des nuages ​​avec la visibilitĂ© minimale dĂ©finie par la rĂ©glementation. Le pilote doit toujours avoir une vue sur le sol. Quel permis pour piloter un ULM ? Pour piloter un appareil en parfaite autonomie, qu’il s’agisse d’un ULM multi-axes, pendulaire, autogire ou autre, il est nĂ©cessaire d’obtenir une licence de pilote ULM. Ce brevet est obtenu aprĂšs la rĂ©ussite d’un examen comprenant une Ă©preuve thĂ©orique au sol et une Ă©preuve pratique en vol. Quel est l’ULM le plus sĂ»r ? Le G1, un avion Super STOL Short Take Off and Landing ULM Ultra Light Motorized adaptĂ© aux vols en montagne. Le G1, un ULM sĂ»r.
Deshydravions à Fréjus et à Berre Les premiers hydravions ont été des planeurs. Gabriel Voisin a décollé de la Seine le 6 juin 1905 et volé sur 600 mÚtres à
Vous ĂȘtes ici Accueil / Cockpit / GĂ©rer une perte partielle de puissance aprĂšs dĂ©collage Une Ă©tude australienne sur les pertes partielles de puissance moteur aprĂšs dĂ©collage sur monomoteurs Ă  pistons. En 2013, le bureau australien de la sĂ©curitĂ© des Transports ATSB a publiĂ© une Ă©tude portant sur la gestion d’une perte partielle de puissance aprĂšs dĂ©collage, sur monomoteur ». Il s’agissait d’attirer l’attention des pilotes et instructeurs aux risques d’une perte partielle de la puissance en montĂ©e initiale, et ce sur monomoteur. Ceci faisait suite Ă  des accidents liĂ©s Ă  des dĂ©crochages ou pertes de contrĂŽle dans de telles conditions. En voici une traduction libre » de l’essentiel de son contenu. GĂ©rer une perte partielle de puissance aprĂšs dĂ©collage sur monomoteur Si la perte totale de la puissance fait partie des exercices lors de la formation des pilotes, l’étude a montrĂ© que durant et juste aprĂšs le dĂ©collage, une perte partielle de puissance moteur avait trois plus d’occurrences d’intervenir qu’une panne totale. De plus, l’ATSB a enregistrĂ© 9 accidents mortels entre 2000 et 2010 suite Ă  des pannes partielles contre 0 accident mortel dans le cas de pannes totales. Si l’une des raisons de cette diffĂ©rence provient du fait qu’une panne partielle est plus exigeante Ă  gĂ©rer, suite aux choix auxquels se trouve confrontĂ© le pilote avec des dĂ©cisions Ă  prendre immĂ©diatement, cela n’explique pas tout. Un autre facteur serait liĂ© Ă  la formation. La perte totale de puissance aprĂšs dĂ©collage fait partie du cursus du pilote VFR mais ce n’est pas le cas d’une perte partielle de la puissance, ou du moins pas de façon aussi poussĂ©e. L’ATSB soulignait la difficultĂ© d’un entraĂźnement Ă  la perte partielle de puissance du fait de la multitude de situations possibles variabilitĂ© de la puissance rĂ©siduelle et fiabilitĂ© dans le temps d’oĂč la nĂ©cessitĂ© d’attirer l’attention des pilotes pour qu’ils soient mieux prĂ©parĂ©s Ă  ce type de situation. Le document met en avant la stratĂ©gie Ă  mettre en place, consistant Ă  – anticiper la prise de dĂ©cision avant le vol pour les urgences et les situations anormales sur l’aĂ©rodrome utilisĂ©, – rĂ©aliser de façon attentionnĂ©e la visite prĂ©vol et les essais moteur pour rĂ©duire le risque de panne partielle, – avoir une rĂ©action positive pour conserver le contrĂŽle de l’appareil lors du retour au terrain ou lors de l’atterrissage forcĂ©, en prenant en compte l’énergie Ă  l’arrondi et la vitesse de dĂ©crochage. Panne partielle pendant ou aprĂšs le dĂ©collage Une panne partielle de puissance intervient quand la puissance dĂ©livrĂ©e est infĂ©rieure Ă  celle demandĂ©e par le pilote mais supĂ©rieure Ă  celle du ralenti. Une panne partielle de puissance aprĂšs dĂ©collage est Ă  prendre en considĂ©ration quand l’appareil a quittĂ© le sol, se trouvant en montĂ©e initiale, gĂ©nĂ©ralement sous la hauteur de circuit de piste, tout en Ă©tant proche de l’aĂ©rodrome. Une panne moteur totale prĂ©cĂ©dĂ©e d’une panne partielle fait partie des cas Ă©tudiĂ©s durant cette Ă©tude. Les causes d’une panne partielle peuvent ĂȘtre – des problĂšmes mĂ©caniques du moteur, – des circuits air ou carburant obstruĂ©s, une combustion incomplĂšte, un manque de carburant, un problĂšme d’allumage
 – un blocage mĂ©canique des manettes de gaz, comme un cĂąble de commande bloquĂ© ou rompu. Du 1er janvier 2000 au 31 dĂ©cembre 2010, l’ATSB avait enregistrĂ© 242 Ă©vĂ©nements dont 9 mortels dont 75 avec panne totale. Il en ressort qu’une panne partielle est plus complexe et plus frĂ©quente qu’une panne totale. Le scĂ©nario de la panne partielle est plus complexe Ă  gĂ©rer. Le pilote doit prendre la dĂ©cision difficile de poursuivre le vol ou de rĂ©aliser un atterrissage forcĂ©. La prise de dĂ©cision peut ĂȘtre fortement influencĂ©e par le fait que le moteur dĂ©livre encore de la puissance, mĂȘme si cela reste non fiable. La tendance Ă  vouloir revenir au terrain est grande. PrĂ©paration du vol et auto-briefing – PrĂ©pavol Durant une panne partielle de puissance aprĂšs dĂ©collage, le pilote doit prendre une dĂ©cision pour gĂ©rer la situation sous conditions de stress, d’incertitude, de forte charge de travail et pression temporelle Ă©levĂ©e. En prenant en compte certaines donnĂ©es comme la direction du vent, les options pour atterrir sur et en dehors du terrain, devant et derriĂšre l’avion, vous pourrez diminuer votre charge mentale si une panne partielle intervient. Avoir prĂ©parĂ© un plan peut aussi diminuer les effets de la dĂ©cision Ă  prendre sous stress. Avoir planifiĂ© au prĂ©alable votre rĂ©action en conditions calmes vous permettra de mieux mettre en place les actions Ă  faire si une situation d’urgence intervient. Il est donc recommandĂ© de prendre en compte une possible panne partielle de moteur dans son plan d’action et sa stratĂ©gie de gestion des erreurs et des menaces. Votre prĂ©paration doit donc s’intĂ©resser aux points suivants – le QFU de la piste et le meilleur choix en cas de virage de retour, – la force et la direction du vent au moment du dĂ©collage, – les obstacles et le relief, – les points de dĂ©cision selon la hauteur et les performances pour diffĂ©rentes options d’atterrissage sur le reliquat de piste, en dehors de l’aĂ©rodrome, en effectuant un virage de retour. Éviter une panne partielle de moteur – Auto-briefing Tous les pilotes, y compris sur monomoteurs, doivent se faire leur propre briefing SĂ©curitĂ© Ă  chaque dĂ©collage. Ce briefing est important car il vous remĂ©more les actions planifiĂ©es en cas d’urgence comme une panne partielle de puissance. – Visite prĂ©vol L’ATSB a notĂ© de nombreux Ă©vĂ©nements oĂč il y avait la preuve de la dĂ©tection d’une anormalitĂ© dans le fonctionnement du moteur, ou qu’un problĂšme aurait dĂ» ĂȘtre dĂ©tectĂ© et empĂȘcher tout dĂ©collage. PrĂ©venir est meilleur que guĂ©rir. Les essais moteur constituent un important filet de sĂ©curitĂ© pour Ă©viter tout problĂšme moteur aprĂšs dĂ©collage. Certains cas ont rĂ©vĂ©lĂ© une absence de carburant, ou une contamination de ce dernier entraĂźnant des problĂšmes moteur aprĂšs dĂ©collage, suivis d’une panne totale qui aurait pu ĂȘtre Ă©vitĂ©e par une meilleure visite prĂ©vol. Celle-ci doit comprendre le moteur et le circuit carburant. D’oĂč l’importance de purger tous les points prĂ©vus Ă  cet effet. VĂ©rifier l’absence de fuite une fois les purges remises en place. L’absence de fuite, une bonne sĂ©lection du rĂ©servoir avant dĂ©collage, la vĂ©rification que les bouchons de rĂ©servoir sont bien en place correctement fermĂ©s sont des points importants. Connaissez bien le circuit carburant de votre avion et les consignes du constructeur. De nombreux accidents ont Ă©tĂ© dus Ă  une mauvaise sĂ©lection ou une sĂ©lection imparfaite du bon rĂ©servoir. DĂšs qu’il y a au moins deux rĂ©servoirs, ce point est capital. VĂ©rifiez bien le rĂ©servoir opĂ©rationnel avant le dĂ©collage. La contenance doit ĂȘtre vĂ©rifiĂ©e de plusieurs façons et non pas une seule visuelle, par vĂ©rification sur le carnet de route, par jauge, etc. – Évitez la distraction Une rupture de procĂ©dure prĂ©vol par distraction ou sous la pression temporelle peut entraĂźner des oublis. PrĂ©venir vos passagers que la visite prĂ©vol ne doit pas ĂȘtre perturbĂ©e, ou dans le cas contraire, revenez en arriĂšre pour ĂȘtre certain de ne rien oublier. Un quart des pertes de puissance sont survenus lors de sĂ©ances de touchĂ©s-dĂ©collĂ©s, suite Ă  des pannes d’essence. MĂȘme lors de courts vols, une gestion carburant est nĂ©cessaire avec un bilan avant dĂ©collage et une durĂ©e maximale du vol. Certains accidents sont dus Ă  une panne moteur au dĂ©collage aprĂšs avoir consommĂ© le reliquat de carburant dans les canalisations
 Des essais moteur mĂ©thodiques doivent supprimer ce type de cause. – Essais moteur sur le rĂ©servoir prĂ©vu Il est important que le circuit carburant ne soit pas modifiĂ© entre les essais et le dĂ©collage. Il faut donc utiliser pour dĂ©coller le rĂ©servoir testĂ© lors des essais moteur, pour minimiser les risques de dysfonctionnement. Effectuez des essais moteur mĂ©thodiquement. Des accidents ont eu lieu aprĂšs que les pilotes aient notĂ© des anomalies Ă  rĂ©gime Ă©levĂ© avant dĂ©collage, tels que des vibrations ou Ă -coups. D’oĂč l’importance de bien noter la chute des tours aux essais magnĂ©tos et Ă  l’application du rĂ©chauffage carburateur. VĂ©rifier les pressions d’essence et d’huile ainsi que la tempĂ©rature de cette derniĂšre. L’ATSB a notĂ© des bougies noyĂ©es, des problĂšmes de givrage carburateur, des fonctionnements non rĂ©guliers du moteur sans que la cause ne soit identifiĂ©e. – Un briefing SĂ©curitĂ© DĂ©jĂ  Ă©voquĂ©, ce dernier doit logiquement intervenir aprĂšs les essais moteur, peu avant l’alignement. Il alimente la mĂ©moire courte, en rĂ©capitulant les diffĂ©rentes options selon la situation rencontrĂ©e. – L’accĂ©lĂ©ration initiale Un problĂšme moteur peut parfois ne pas ĂȘtre dĂ©tectĂ© lors des essais moteur mais survenir Ă  l’application totale de la puissance lors du dĂ©collage. Il faut Ă©valuer l’accĂ©lĂ©ration de l’appareil en fonction de la distance parcourue, en comparant avec de prĂ©cĂ©dents dĂ©collages. Des cas ont montrĂ© des symptĂŽmes de perte de puissance dĂšs le roulage avant la rotation rĂ©gime moins Ă©levĂ© que prĂ©vu, pĂ©tarades, accĂ©lĂ©ration molle, mauvais rĂ©glage de la manette de pas ou de rĂ©chauffage carburateur, etc. Les pilotes ont pourtant poursuivi le dĂ©collage
 Il est recommandĂ© d’utiliser la totalitĂ© de la piste et d’éviter un alignement Ă  partir d’une intersection, pour vous donner plus de latitude pour atterrir devant vous ou dans un champ si le moteur perd de la puissance aprĂšs dĂ©collage. – AccĂ©lĂ©ration-arrĂȘt Des pilotes ont abandonnĂ© le dĂ©collage, dĂšs l’application de la pleine puissance ou juste avant la rotation. Un tiers des pilotes l’a fait Ă  la vitesse de rotation avec au moins la moitiĂ© de la piste dĂ©jĂ  atteinte. Un quart des cas sont intervenus lors de touchĂ©s-dĂ©collĂ©s. Sur les 24 accĂ©lĂ©rations-arrĂȘts, 20 n’ont entraĂźnĂ© aucun dommage et 4 des dommages mineurs, avec des dommages matĂ©riels aile, hĂ©lice, train
. Un quart des accĂ©lĂ©rations-arrĂȘts ont Ă©tĂ© suivies d’une sortie longitudinale ou d’un cheval de bois pour Ă©viter la sortie de piste. Ainsi, il est important de noter tout problĂšme avant la vitesse de rotation. – Éviter la pression La pression peut entraĂźner un pilote Ă  dĂ©coller sans avoir rĂ©glĂ© un problĂšme. C’est identique au syndrome de destinationite » avec la poursuite du vol dans le mauvais temps. Si vous ne savez pas, ne dĂ©collez pas GĂ©rer une panne partielle aprĂšs dĂ©collage Une panne partielle peut entraĂźner une puissance trĂšs faible Ă  une puissance proche des paramĂštres normaux. La prioritĂ© doit ĂȘtre donnĂ©e au contrĂŽle de l’appareil et non pas Ă  l’analyse des problĂšmes. – Maximisez la hauteur ou minimiser la distance Monter Ă  la vitesse de meilleur taux de montĂ©e ou de meilleur angle, selon l’avion et le lieu, doit maximiser vos options en cas de panne partielle. Les actions initiales Ă  faire sont les suivantes – abaissez le nez de l’appareil pour conserver la vitesse de planĂ©, – rĂ©alisez une analyse de panne comme si cette derniĂšre Ă©tait totale. Ceci uniquement si vous avez suffisamment de temps. – conservez la vitesse de planĂ© et vĂ©rifiez si l’avion peut maintenir, gagner ou perdre de la hauteur en fonction des paramĂštres. Ceci vous renseignera sur les options disponibles. – pilotez l’appareil pour atterrir, en fonction de la hauteur et des performances, et les trajectoires prĂ©vues pour un tel scĂ©nario. Si un virage est entamĂ©, n’oubliez pas que l’inclinaison augmente la vitesse de dĂ©crochage. Volez symĂ©trique pour limiter le taux de chute. Avoir une hauteur minimale pour entamer un virage est recommandĂ©. – rĂ©actualisez les options d’atterrissage au fil du temps. Prenez des dĂ©cisions mais soyez prĂȘt Ă  modifier votre plan si nĂ©cessaire. – atterrissez. Ayant une hauteur minimale pour avoir les ailes Ă  l’horizontale 200 ft/sol minimum recommandĂ©s, en fonction du taux de roulis, de la vitesse et de l’expĂ©rience du pilote. Maintenez la vitesse de planĂ© jusqu’à l’arrondi pour avoir assez Ă©nergie pour diminuer le taux de chute. – Les scĂ©narios disponibles Trois dĂ©cisions sont possibles en cas de panne partielle aprĂšs dĂ©collage – atterrissage forcĂ© ou de prĂ©caution dans l’enceinte de l’aĂ©rodrome aprĂšs dĂ©collage, – atterrissage forcĂ© ou de prĂ©caution en dehors de l’aĂ©rodrome, – virage de retour vers l’aĂ©rodrome avec atterrissage forcĂ© hors aĂ©rodrome ou atterrissage forcĂ© sur l’aĂ©rodrome selon les cas. Sur les 242 cas de pannes partielles entre 2000 et 2010, deux tiers des pilotes ont fait demi-tour. Sur ces 160 cas, 145 ont rĂ©ussi Ă  revenir au terrain de dĂ©part. Dans 19% des cas, un atterrissage forcĂ© ou de prĂ©caution a Ă©tĂ© menĂ© et 22 sur 48 cas ont atterri dans l’enceinte juste aprĂšs dĂ©collage. 10% des cas ont entraĂźnĂ© une accĂ©lĂ©ration-arrĂȘt avant de quitter le vol. Dans 10 cas, le pilote n’a semble-t-il pas menĂ© d’action spĂ©cifique, suivi d’une collision avec le sol, dont 7 avec perte de contrĂŽle. – Maintenez la vitesse de planĂ© Le plus important est de maintenir une bonne vitesse pour Ă©viter un dĂ©crochage et avoir de l’énergie pour gĂ©rer l’arrondi. L’essentiel est de savoir oĂč va l’appareil, de maintenir le contrĂŽle et dĂ©velopper une conscience de la situation. Le schĂ©ma suivant donne les hauteurs auxquelles la panne a Ă©tĂ© annoncĂ©e ou dĂ©tectĂ©e. Le nombre d’atterrissages forcĂ©s est nettement plus Ă©levĂ© quand on se trouve dans la tranche du sol Ă  250 ft plutĂŽt qu’au-dessus de 250 ft, quand la dĂ©cision de faire demi-tour a Ă©tĂ© prise. Il est probable que la plupart des atterrissages forcĂ©s n’étaient que la seule option, l’appareil Ă©tant incapable de maintenir sa hauteur et le pilote n’ayant pas assez de hauteur pour manoeuvrer. Sur les 10 cas oĂč le pilote n’a pas rĂ©agi, 4 ont entraĂźnĂ© des dĂ©cĂšs. Ces accidents sont surtout survenus avec l’appareil poursuivant tout droit, diminuant sa vitesse pour maintenir une hauteur, avant une perte de contrĂŽle avec dĂ©crochage ou vrille, ou la collision avec des obstacles tels des arbres. Prenez des dĂ©cisions avant vol pour anticiper une panne, afin de rĂ©duire votre charge de travail et vous aider Ă  faire la bonne action. Soyez clair avec vous-mĂȘme et avec vos passagers sur votre plan d’action prĂ©vu. Dans 8 cas sur 232, le pilote a menĂ© une action menant Ă  une perte de contrĂŽle. Mais il n’y avait pas de dĂ©cision claire et d’action en consĂ©quence, si ce n’est de piloter jusqu’à la collision avec un obstacle ou le sol. Les hauteurs oĂč une perte partielle de puissance n’a entraĂźnĂ© aucune action apparente du pilote se trouvent entre 50 et 100 ft. Atterrissage forcĂ© ou de prĂ©caution sur l’aĂ©rodrome 22 cas ont Ă©tĂ© relevĂ©s avec atterrissage dans l’axe ou lĂ©gĂšrement dĂ©calĂ© par rapport Ă  la piste, dĂ©cision prise entre 25 et 150 ft. 5 cas avec l’appareil Ă  hauteur de circuit ou hors du pĂ©rimĂštre du terrain mais apte Ă  rejoindre une autre piste. Sur les 27 cas, 2 ont entraĂźnĂ© des blessures graves et 3 des blessures lĂ©gĂšres, mais aucun accident mortel. Seulement des dommages matĂ©riels aprĂšs sortie de piste. Quelques points Ă  noter pour rĂ©duire les risques plus tĂŽt la puissance est rĂ©duite, plus grande est la distance disponible pour atterrir. Tout virage augmente le risque d’un dĂ©crochage et celui de toucher le sol d’une extrĂ©mitĂ© d’aile. la sortie des pleins volets est recommandĂ©e si possible car cela diminuer la vitesse sol au contact. Mais cela peut aussi rĂ©duire l’efficacitĂ© du freinage et augmenter l’effet de sol notamment sur avions Ă  ailes basses. Atterrissage forcĂ© ou de prĂ©caution hors aĂ©rodrome Si la panne intervient aprĂšs le dĂ©collage et dans les limites du terrain, il peut ĂȘtre plus appropriĂ© de poursuivre hors du pĂ©rimĂštre de l’aĂ©rodrome dans certaines conditions, notamment en l’absence de surface acceptable pour atterrir. 21 cas seulement ont Ă©tĂ© notĂ©s pour un pilote menant un atterrissage forcĂ© ou de prĂ©caution hors limites de l’aĂ©rodrome avec 1 accident mortel et 3 accidents avec blessures lĂ©gĂšres. L’accident mortel est dĂ» Ă  un amerrissage, avec faibles dommages Ă  l’avion mais un des passagers s’est noyĂ© aprĂšs avoir quittĂ© l’avion. Pour tous ces cas, la panne a gĂ©nĂ©ralement Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e vers 200 ft/sol. Les rapports d’accidents montrent que les pilotes ont parfois utilisĂ© la puissance rĂ©siduelle pour mener leur approche, mais vous devez considĂ©rer que votre moteur peut vous lĂącher Ă  tout moment. Il faut donc conduire l’atterrissage comme si vous n’aviez aucune puissance, pour annuler toute incertitude. Les pilotes sont plus entraĂźnĂ©s Ă  gĂ©rer une panne totale. Utilisez la structure de l’appareil pour minimiser les dommages. PrioritĂ© Ă  la survie des passagers et au pilote, sans considĂ©ration pour l’appareil. Utilisez le train ou les ailes pour absorber l’énergie Ă  l’impact, sur des obstacles, pour dĂ©cĂ©lĂ©rer l’appareil. Évitez un contact direct du fuselage avec un obstacle. Virage de retour vers l’aĂ©rodrome Avec l’urbanisation autour de certains aĂ©roports et l’absence de surfaces acceptables pour atterrir, une autre option peut ĂȘtre un retour vers le terrain tout en envisageant un atterrissage forcĂ©. Si suffisamment de puissance est lĂ  pour tenir une altitude, cette option devient possible tant que l’appareil peut Ă©galement ĂȘtre posĂ© hors terrain sur la trajectoire le ramenant au terrain. L’option est Ă  Ă©viter dans certains cas fort trafic, obstacles, composante de vent non favorable, risques de dĂ©crochage
 Un bon plan de retour au terrain ne doit pas placer l’appareil dans une situation plus risquĂ©e que celle d’un atterrissage forcĂ© conduit hors limites de l’aĂ©rodrome. Les quatre points Ă  prendre en compte pour justifier un demi-tour sont – de la hauteur disponible, – de la puissance encore suffisante assez pour monter ?, – une vitesse de dĂ©crochage accrue avec l’angle d’inclinaison augmente le risque de dĂ©crochage, – un niveau de confiance suffisant dans la puissance restante, tout en considĂ©rant que le moteur peut lĂącher Ă  tout instant. Le pilote, pour son plan d’action, doit – Ă©valuer la nature du terrain Ă  survoler, meilleure ou pire que celle d’un atterrissage dans l’axe, ainsi que la vitesse sol Ă  l’atterrissage si le vent est fort. – maintenir la vitesse de planĂ© sans chercher Ă  maintenir une hauteur, afin d’avoir des marges en cas de virage Ă  inclinaison modĂ©rĂ©e. – optimiser le taux de virage avec une inclinaison maximale acceptable. Avec le facteur de charge et une augmentation du taux de chute, le retour au terrain peut ĂȘtre compromis surtout si la puissance varie sans prĂ©venir. Évitez les risques d’un virage Ă  faible hauteur. N’augmentez pas l’inclinaison pour augmenter le taux de virage. – dĂ©finir une hauteur minimale oĂč les ailes devront ĂȘtre horizontales pour l’atterrissage 200 ft minimum. – piloter l’appareil et constamment analyser les options pour atterrir en cas de panne totale du moteur. Observer l’environnement devrait prendre au moins 85% du temps, 10% pour vĂ©rifier la hauteur de l’avion et 5% pour contrĂŽler l’instrumentation altimĂštre et anĂ©momĂštre. Si l’analyse montre qu’il n’est pas possible de revenir au terrain au vu du taux de chute, un atterrissage forcĂ© doit ĂȘtre prĂ©vu. Durant le virage de retour, il faut considĂ©rer que le meilleur taux de virage en fonction de la perte de hauteur est d’environ 45°, avec une vitesse de dĂ©crochage accrue de 19%. Pour conserver la vitesse de planĂ©, le nez sera abaissĂ© pour diminuer la traĂźnĂ©e induite. Prenez en compte la distance Ă  parcourir durant le virage. Soyez prĂȘt Ă  stopper le virage et atterrir dans l’axe si la puissance se dĂ©tĂ©riore. L’ATSB a notĂ© que prĂšs des deux tiers des pilotes ont choisi de faire demi-tour aprĂšs une panne partielle. 94% ont entraĂźnĂ© aucun dommage ou blessure. 19% ont donnĂ© lieu Ă  un atterrissage forcĂ© ou de prĂ©caution. Parmi ceux-ci, 81% sans blessures. Il y a eu plus de pertes importantes de puissance liĂ©es aux atterrissage forcĂ©s, la hauteur ne permettant pas un retour. 4 accidents mortels et 1 accident grave sont liĂ©s Ă  des pertes de contrĂŽle aprĂšs le virage, avec dĂ©crochage et vrille, et impact avec le sol. Un virage de retour implique un pilotage prĂ©cis sous fort stress. En cas de dĂ©crochage ou dĂ©part en vrille, au vu des hauteurs pratiquĂ©es, la rĂ©cupĂ©ration est peu probable. Avec le fait que de nombreux aĂ©rodromes sont noyĂ©s dans l’urbanisation, quand hauteur et reliquat de puissance sont suffisants, un retour au terrain est une option moins dangereuse qu’un atterrissage forcĂ©, pour l’équipage et les tiers. Pour les atterrissage hors aĂ©rodrome aprĂšs demi-tour, 15 cas ont Ă©tĂ© relevĂ©s avec la hauteur ne pouvant ĂȘtre conservĂ©e. 3 ont entraĂźnĂ© des accidents mortels, tous par perte de contrĂŽle, et 4 ont entraĂźnĂ© des blessures graves. 3 sur 4 accidents graves sont liĂ©s Ă  des atterrissages durs plutĂŽt qu’à la rencontre d’obstacles, renforçant l’idĂ©e importante de maintenir la vitesse jusqu’à l’arrondi. Un autre accident grave est liĂ© au dĂ©ploiement du parachute balistique au-dessus de l’eau mais Ă  une hauteur infĂ©rieure Ă  celle recommandĂ©e par le constructeur, l’avion touchant l’eau avec une assiette presque verticale. Les accidents ci-dessus sont dus Ă  des vitesses faibles ou de forts angles d’inclinaison sans maintenir suffisamment de vitesse pour arrondir. Pour les atterrissages sur l’aĂ©rodrome aprĂšs demi-tour, 145 cas ont Ă©tĂ© relevĂ©s, dont 1 mortel et 1 autre avec blessures graves. Dans le premier cas, le moteur Ă©tait engorgĂ© et le pilote a perdu le contrĂŽle durant le virage Ă  une hauteur ne lui permettant pas de rĂ©cupĂ©rer la trajectoire. Le second est Ă©galement intervenu sur perte de contrĂŽle durant un virage serrĂ©. 50 demi-tours ont permis un retour au sol en utilisant une autre piste. Ceci doit ĂȘtre envisagĂ© Ă  la prĂ©paration du vol. Ceci permet de rĂ©duire le virage ainsi que la distance Ă  parcourir. Les avions qui ont rĂ©ussi ces demi-tours avaient gĂ©nĂ©ralement assez de puissance pour maintenir une hauteur voire grimper dans le circuit. Cependant certains avaient assez de hauteur pour revenir en descente avec une puissance partielle. Perte de contrĂŽle 15 des 242 pannes ont entraĂźnĂ© une perte de contrĂŽle. Plus de 50% ont entraĂźnĂ© des dĂ©cĂšs, aprĂšs dĂ©crochages et vrilles, aprĂšs diminution de la vitesse, le pilote tentant d’étirer la distance de planĂ© ou de maintenir sa hauteur, ou aprĂšs un virage serrĂ© avec accroissement de la vitesse de dĂ©crochage. D’oĂč l’importance de bien connaĂźtre son avion et de surveiller vitesse et angle d’inclinaison lors du virage bien symĂ©trique. Si la panne partielle est quasi-totale, le pilote considĂ©rera qu’il est en panne totale et agira dans ce sens. À l’autre extrĂ©mitĂ©, quand la puissance permet quand mĂȘme de monter, plus d’options sont disponibles pour revenir avec prĂ©caution vers l’aĂ©rodrome. La difficultĂ© intervient entre ces deux extrĂȘmes comme le montre le schĂ©ma ci-dessous. Pour rĂ©sumer – Des vĂ©rifications avant dĂ©collage peuvent prĂ©venir une panne partielle. – Une prĂ©paration du vol poussĂ©e et un briefing SĂ©curitĂ© – Garder le contrĂŽle ♩♩♩ Photo d’ouverture © F. Besse / Pour ceux qui veulent aller plus loin, le lien vers l’étude intĂ©grale.
Lesavion peut le gĂ©rer, et les pilotes sont bien formĂ©s pour le faire. Attendez-vous simplement Ă  ce qu’il soit un peu cahoteux pendant le dĂ©collage et l’atterrissage. Atterrir dans la neige est, croyez-le ou non, beaucoup moins dangereux que le dĂ©collage. De mĂȘme, pourquoi les avions tournent-ils au dĂ©collage ? Lorsque vous tourner dans un avion l’aile intĂ©rieure se dĂ©place
COURS DE PILOTAGE DĂ©collages et atterrissages Les principaux problĂšmes Les modĂšles lĂ©gers sont trĂšs sensibles aux rafales. Nous devrons essayer d'atterrir directement vent de face. Dans le dernier article consacrĂ© Ă  l'initiation au pilotage d'aĂ©romodĂšles RC, nous vous avions parlĂ© des premiers vols et des principales difficultĂ©s auxquelles le dĂ©butant doit faire face, comme, par exemple, les problĂšmes d'orientation, le contrĂŽle de l'altitude et de la vitesse en virage, l'apparente inversion des commandes lorsque le modĂšle vole face au pilote, etc. La prĂ©sence d'un instructeur est indispensable au cours de cette Ă©tape de l'apprentissage. En effet, il est plus que probable que, plusieurs fois par vol, le dĂ©butant s'embrouillera dans les commandes, perdra le contrĂŽle de l'appareil ou commettra une bĂȘtise comme nous l'avons bien sĂ»r tous fait au dĂ©but; le "maĂźtre" devra alors prendre les commandes pour Ă©viter un "sinistre total". Au risque de nous rĂ©pĂ©ter, nous tenons Ă  insister une nouvelle fois sur l'importance de la double commande, dont on peut Ă©quiper la plupart des radios modernes; cette prĂ©caution se justifie particuliĂšrement pour la phase du vol que nous allons dĂ©crire aujourd'hui les moments d'affolement - et, par consĂ©quent, les crashes - ne sont pas rares. Certains lecteurs nous reprochent une approche jugĂ©e trop "stricte"; ils auraient souhaitĂ© que nous leur apprenions, dĂšs les premiers articles, Ă  ĂȘtre "autosuffisants". Urne chose est certaine on n'apprend pas Ă  dĂ©coller et/ou Ă  atterrir avant de bien savoir piloter ''en l'air", et tenter d'y parvenir seul ne vous conduira qu'Ă  casser vos modĂšles. Il est clair que la manoeuvre d'atterrissage est la plus dĂ©licate mais comme "...Ă  chaque vol correspond un atterrissage, qu'il soit de qualitĂ© ou non", nous devrons, tĂŽt ou tard, nous rĂ©soudre Ă  apprendre cette technique. 1 Le dĂ©collage, lui aussi, doit se faire vent de face. 2 Atterrissage "au ras des chardons" dĂ» Ă  une panne moteur voir l'hĂ©lice. ManƓuvres prĂ©liminaires Nous avions, dans notre dernier article, Ă©voquĂ© les "approches" ou ''passages". Ce qui va suivre constitue en quelque sorte une "rĂ©pĂ©tition gĂ©nĂ©rale", le but Ă©tant d'atterrir en toute sĂ©curitĂ©. Pour ce faire, il vous faudra apprendre Ă  aligner l'appareil sur l'axe de la piste, et ce, quelle que soit sa position initiale, avec une inclinaison d'ailes nulle et en pente douce, ce qui est indispensable pour pouvoir atterrir sans risques. Le modĂšle qui convient le mieux pour les approches et, d'ailleurs, pour toutes les phases de l'apprentissage est un entraĂźneur Ă  aile haute, avec ou sans ailerons, fiable et correctement carburĂ©. Nous mentionnons ce dernier point car si, au cours des premiĂšres phases de l'apprentissage, qui se dĂ©roulent Ă  une altitude suffisante, le moteur s'arrĂȘte, l'instructeur aura toujours le temps de prendre les commandes et d'effectuer l'atterrissage avec le moteur Ă  l'arrĂȘt; alors qu'une panne moteur en fin d'approche nous laissera en hĂ©ritage un modĂšle "mort", proche du dĂ©crochage, Ă  faible altitude et dans une position qui rendra difficile un atterrissage sans casse; il est dĂ©jĂ  assez difficile d'atterrir sur la piste sans, en plus, devoir le faire vent arriĂšre, sur un champ labourĂ© qui se trouve Ă  200-300 mĂštres de distance
 Les premiĂšres approches doivent ĂȘtre effectuĂ©es Ă  une hauteur suffisante, Ă  mi-moteur et amorcĂ©es Ă  distance raisonnable; nous apprendrons ainsi Ă  diriger l'avion vers la piste et Ă  longer celle-ci, toujours face au vent. L'atterrissage se fait toujours avec le vent de face la vitesse de l'avion par rapport au sol est ainsi beaucoup plus faible, ainsi que les dĂ©gĂąts Ă©ventuels au cas oĂč la prise de contact avec le sol serait loin d'ĂȘtre parfaite. AprĂšs avoir appris Ă  diriger le modĂšle face au vent et parallĂšlement, mais Ă  une hauteur respectable, il vous faudra rĂ©aliser des passages de plus en plus bas et Ă  vitesse de plus en plus rĂ©duite. AprĂšs trois ou quatre vols l'atterrissage sera, bien entendu, effectuĂ© par l'instructeur, vous ne devriez plus avoir trop de peine Ă  positionner l'appareil Ă  environ dix mĂštres Ă  la verticale du dĂ©but de piste et Ă  une puissance infĂ©rieure Ă  mi-moteur. Si vous coupez alors les gaz en laissant tourner le moteur au ralenti, l'appareil descendra en douceur et il est plus que probable qu'il atterrira tout seul en fin de piste sans que vous ne deviez intervenir. Un Sukhoi acrobatique en plein dĂ©collage. A moins de disposer d'un avion trĂšs puissant, et d'ĂȘtre un expert, il faudra veiller Ă  adopter un angle de dĂ©collage infĂ©rieur Ă  celui qu'illustre cette photo. Notre premier atterrissage Une fois que vous aurez dominĂ© ces passages Ă  basse altitude, viendra "l'heure de vĂ©ritĂ©". Avec l'instructeur Ă  vos cĂŽtĂ©s, mais bien dĂ©cidĂ© Ă  atterrir sans son aide, vous commencerez par voler quelques minutes Ă  haute altitude et vous rĂ©aliserez quelques approches "d'essai". Nous vous conseillons de faire en sorte que le modĂšle entre en dĂ©but de piste Ă  vitesse modĂ©rĂ©e-faible et Ă  basse altitude; vous sortirez du cĂŽtĂ© opposĂ© et commencerez ensuite le "circuit d'atterrissage" qui consiste, ni plus ni moins, Ă  prĂ©parer l'approche dĂ©finitive vous coupez les gaz afin que le modĂšle descende en douceur et passe devant vous Ă  environ 50-100 mĂštres de distance et 20 de hauteur. Quand il aura dĂ©passĂ© le dĂ©but de piste de 50-100 mĂštres, vous le ferez virer en douceur vers vous en ouvrant Ă  peine les gaz pour qu'il continue Ă  perdre de l'altitude; si vous ne commettez aucune erreur grave, comme, par exemple, commander Ă  l'envers quand le modĂšle vous fera face, vous terminerez le virage Ă  environ 100 mĂštres du dĂ©but la piste et Ă  basse altitude environ 5-10 mĂštres; Ă  ce moment lĂ , vous aurez terminĂ© la phase la plus difficile de l'atterrissage effectuer le virage en douceur tout en perdant de l'altitude. Il vous reste Ă  stabiliser l'appareil Ă  inclinaison nulle et Ă  couper le moteur le modĂšle continuera sa descente et se posera au sol. Pour diminuer la vitesse, on applique un peu de commande vers le haut, juste avant que le modĂšle ne se pose il lĂšvera un peu le nez et perdra de la vitesse. Une fois le modĂšle au sol, vous aurez tout droit Ă  vos plus sincĂšres fĂ©licitations et Ă  une dĂ©tente bien mĂ©ritĂ©e car, croyez-moi, vous aurez les nerfs Ă  fleur de peau ! Pour Ă©viter les pannes moteur au dĂ©collage, on s'assurera qu'il puisse tourner "Ă  plein gaz" dans cette position pendant 5-10 secondes. Perfectionnons notre technique. Vous avez rĂ©ussi Ă  faire atterrir vous mĂȘme votre appareil. TrĂšs bien. Vous devez Ă  prĂ©sent vous exercer et perfectionner progressivement votre technique, ce qui nĂ©cessite de nombreuses heures de vol et une grande persĂ©vĂ©rance. En effet, vous ĂȘtes capable de faire atterrir l'avion mais il est plus que probable que, lors de vos premiers essais, vous ayez besoin d'un "grand" terrain et que, mĂȘme ainsi, vous en "sortiez" souvent ou que "arriviez trop court" ce qui est moins frĂ©quent. Vous devez axer vos premiĂšres expĂ©riences sur 1le perfectionnement du virage final, celui qui vous permet de positionner l'appareil en tĂȘte de piste et sur 2 1e contrĂŽle de la phase finale de l'atterrissage c'est-Ă -dire ne pas ĂȘtre trop long ni trop court. En ce qui concerne le perfectionnement du virage final, la technique la plus simple consiste avec l'audace que nous donne le succĂšs Ă  consacrer une partie de chaque vol Ă  rĂ©aliser des approches comme celles mentionnĂ©es au dĂ©but de cet article, mais en "forçant" un peu la machine, c'est-Ă -dire en virant de plus en plus prĂšs de la piste, de plus en plus serrĂ©, et en rĂ©duisant les gaz chaque fois un peu plus. Avec un peu de pratique, on parvient presque Ă  "laisser tomber" le modĂšle entre ce virage et la tĂȘte de la piste. N'oubliez pas de faire des approches ou des atterrissages de chaque cĂŽtĂ© de la piste; sinon, l'atterrissage de l'un des deux cĂŽtĂ©s vous posera problĂšme, pour ne pas l'avoir pratiquĂ©. Approche finale appareil Ă  50-100 mĂštres, vent de face et dans l'axe de la piste. Il est encore temps d'avorter l'atterrissage en remettant les gaz. La phase finale de l'atterrissage, en ligne droite, constitue l'autre difficultĂ© Ă  rĂ©soudre il faut Ă©viter d'arriver trop court ou, au contraire, trop long. Vous devez, pour rĂ©ussir cette finale, assimiler une notion essentielle quand l'avion approche de la piste, on contrĂŽle la hauteur ou plutĂŽt la pente avec le moteur et non pas avec la profondeur. La profondeur contrĂŽle la vitesse si vous mettez de la profondeur vers le haut, l'appareil ralentira, et vice versa. Si vous vous obstinez Ă  prolonger le vol d'un avion qui est trop ''court" en le cabrant, vous le mettrez en perte de vitesse et il entrera en dĂ©crochage. Comment apprendre Ă  contrĂŽler la descente? La meilleure mĂ©thode consiste Ă  rĂ©aliser plusieurs approches d'assez loin en jouant avec la commande des gaz, et en observant si l'appareil descend ou garde sa hauteur, jusqu'Ă  pouvoir le poser au point d'atterrissage souhaitĂ©. Que faire si vous ĂȘtes trop court ? c'est-Ă -dire que vous ne parvenez pas Ă  la piste. Ne vous obstinez pas -nous le rĂ©pĂ©tons- Ă  commander vers le haut, et donnez un peu plus de moteur. Et si le moteur a calĂ©, ce qui n'a rien d'exceptionnel, il suffit de .... faire descendre l'appareil en douceur et de mieux carburer la prochaine fois. Quoi qu'il en soit, si vous vous rendez compte que vous n'y arriverez pas, Ă©vitez d'amener l'appareil Ă  moitiĂ© "suspendu", avec peu de moteur et au ras du sol sur 100 mĂštres car vous risquez fortement de l'Ă©craser au sol. Que faire si vous vous rendez compte que vous allez dĂ©passer la piste ou que votre entrĂ©e en finale est trop "musclĂ©e" ? Si l'appareil est assez loin et que vous vous dĂ©brouillez dĂ©jĂ  bien, vous pouvez rĂ©aliser certaines manoeuvres avec le moteur coupĂ©; je pense, par exemple, Ă  des virages en douceur, qui favorisent la perte de vitesse. Dans le pire des cas, le plus sĂ»r est de remettre les gaz et d'essayer une approche plus en finesse; Ă©vitez d'atterrir Ă  trop grande vitesse, vous risqueriez d'endommager votre appareil. Nous insistons le secret des atterrissages en douceur et Ă  l'endroit souhaitĂ© rĂ©side dans un entraĂźnement constant. Parfait atterrissage du Sukhoi de la photo prĂ©cĂ©dente en position Ă  "trois points" les trois roues toucheront le sol en mĂȘme temps. Plus difficile Ă  rĂ©ussir qu'il n'y paraĂźt. DĂ©collages En comparaison avec l'atterrissage, le dĂ©collage est une manoeuvre que je considĂšre personnellement comme simple. Les dĂ©collages peuvent ĂȘtre effectuĂ©s Ă  partir du sol ou "Ă  la main"; il est prĂ©fĂ©rable de n'opter pour la seconde solution qu'aprĂšs avoir acquis une certaine expĂ©rience. Le dĂ©collage, contrairement Ă  l'atterrissage, prĂ©sente le grand avantage d'ĂȘtre une manoeuvre que nous rĂ©aliserons au moment oĂč nous le souhaitons. Les complications en la matiĂšre proviennent en grande partie d'un mauvais rĂ©glage du moteur pertes de puissance ou pannes moteur durant l'envol; nous vous recommandons vivement d'en vĂ©rifier le bon fonctionnement avant le dĂ©collage. La technique du lancer-main doit ĂȘtre pratiquĂ©e de façon dĂ©cidĂ©e. L'appareil doit ĂȘtre lĂąchĂ© vent de face, le nez parallĂšle au sol, pour Ă©viter le dĂ©crochage. La manƓuvre de dĂ©collage est trĂšs simple en soi. L'appareil est vent de face important. On ouvre progressivement les gaz jusqu'Ă  pleine puissance et on le laisse prendre de la vitesse; une fois celle-ci suffisante, on cabre doucement l'appareil, qui prend son envol. Le roulage doit, dans la mesure du possible, ĂȘtre rectiligne. Il faut ici Ă©tablir une distinction entre les modĂšles Ă  deux et Ă  trois roues les deux roues ont tendance Ă  dĂ©vier un peu plus que les trois roues en gĂ©nĂ©ral vers la gauche, de par l'action du couple moteur, et les corrections doivent ĂȘtre apportĂ©es non avec les ailerons, mais avec la gouverne de direction, et cela, jusqu'Ă  ce que le modĂšle dĂ©colle. Cette difficultĂ© est compensĂ©e par le fait que les modĂšles Ă  deux roues nous ''avertissent" quand la vitesse de dĂ©collage est atteinte ils lĂšvent d'abord la queue et, ensuite, dĂ©collent, tout simplement. Les trois roues ne posent aucun problĂšme si le modĂšle est bien rĂ©glĂ©, mais si la jambe avant est trop courte, le modĂšle risque de continuer Ă  rouler Ă  toute vitesse et de ne dĂ©coller que lorsque nous lui en donnerons l'ordre. Dans les cas extrĂȘmes, le modĂšle dĂ©collera brusquement et, si nous sommes trop surpris et ne rĂ©agissons pas tout de suite, nous risquons le dĂ©crochage. 1 Le virage final sa position et son angle est dĂ©terminant pour rĂ©ussir une entrĂ©e en piste correcte. 2 Atterrissage laissant Ă  dĂ©sirer hors de la piste et les ailes inclinĂ©es. Erreurs au dĂ©collage Une fois obtenue la prise de vitesse en ligne droite, les deux erreurs les plus frĂ©quentes que vous serez susceptible de commettre sont les suivantes essayer de dĂ©coller trop tĂŽt Ă  faible vitesse ou Ă©lever l'avion sous un angle de montĂ©e trop prononcĂ© en gĂ©nĂ©ral Ă  faible vitesse Ă©galement, en courant ainsi le risque d'entrer en dĂ©crochage prĂšs du sol le modĂšle incline tout Ă  coup une aile et "retombe" brusquement au sol. A moins de possĂ©der un modĂšle de forte puissance, chose peu frĂ©quente dans le cas des entraĂźneurs, il est prĂ©fĂ©rable d'adopter un angle de montĂ©e infĂ©rieur Ă  20-30°, de façon Ă  ce qu'il puisse s'Ă©lever en douceur jusqu'a son altitude de croisiĂšre. Il se peut que la carburation ait Ă©tĂ© trop "affinĂ©e", ce qui peut entraĂźner une perte de puissance lors de la prise de vitesse vous couperez alors immĂ©diatement le moteur et renoncerez au dĂ©collage. Malheureusement, il arrive souvent que le moteur montre des signes de faiblesse juste aprĂšs le dĂ©collage, quand l'avion se trouve encore assez prĂšs du sol. Si cela se produit et surtout si le moteur cale, ne tentez aucun virage et posez l'appareil mieux vaut atterrir plus ou moins en douceur Ă  300 mĂštres de distance que d'essayer de virer avec le moteur coupĂ© dans ce dernier cas, les dĂ©gĂąts sont souvent plus importants. Rappelez vous il faut affiner la carburation, mais pas trop. Le moteur doit pouvoir continuer Ă  tourner Ă  pleine puissance alors que nous tenons l'appareil le nez vers le haut durant 5-10 secondes. Cela correspond Ă  une ouverture de gicleur d'1/4 de tour supĂ©rieur Ă  ce qu'il y paraĂźt. 1 L'atterrissage des planeurs exige une bonne Ă©valuation en phase d'approche; en effet, si on dĂ©passe le terrain, on ne pourra pas tenter un nouvel essai. 2 En cas de panne moteur, les modĂšles lĂ©gers comme celui-ci nous donnent davantage de temps pour prĂ©parer l'atterrissage. Article de Jai confirmĂ© par observation que si vous peignez un 737 dans une livrĂ©e sud-ouest et que l'itinĂ©raire de circulation pour le dĂ©collage en direction opposĂ©e est plus court que pour la piste active, cet avion dĂ©colle Ă  100% du temps en direction opposĂ©e avec jusqu'Ă  sa Carnet de notes n°42 – AĂ©rodrome privĂ© de Saint-RĂ©my-sur-Creuse appelĂ© aussi La Haye-Descartes »10 juillet 1966Jean-Luc Charles et JĂ©rĂŽme Grosse – Membres 2AL’histoire de ce dossier et la mise en valeur de ce trĂ©sorJuste avant le passage Ă  l’an 2000, un descendant de RenĂ© Crozet apporte ce dossier volumineux au centre Onera de Meudon-la-ForĂȘt. Faites-en bon usage » dit-il avant de partir sans laisser d’adresse, hĂ©las. Il n’est pas dans les missions de l’Onera d’exploiter ce volumineux dossier mais il a nĂ©anmoins Ă©tĂ© conservĂ© prĂ©cieusement durant des annĂ©es avant d’ĂȘtre confiĂ© Ă  l’association Anciens AĂ©rodromes pour de 2A Les carnets de RenĂ© Crozet ne sont pas que des textes car, en effet, il dessine beaucoup et photographie Ă  bon escient avec un appareil qui doit ĂȘtre de qualitĂ©. –oOo–Conjonction des albums photos et des carnets de notes de RenĂ© CrozetL’aĂ©rodrome du jour nous a posĂ© quelques problĂšmes car l’album photo, celui que l’on regarde forcĂ©ment en premier, dispose de trois pages intitulĂ©es Meeting de la Haye-Descartes ».Rien de probant sur le Net. Juste une aire de dĂ©collage pour paramoteur bien situĂ©e sur une hauteur de la petite ville de Descartes 3600 habitants. Il faut signaler que Descartes, nom qui vient du philosophe, en a connu plusieurs au fil du temps d’abord, la Haye-en-Touraine puis la Haye-Descartes et, enfin, en 1967 son nom actuel. Elle se situe dans le dĂ©partement de l’Indre-et-Loire 37 et est bornĂ©e au sud-ouest par la riviĂšre Creuse, cette derniĂšre indiquant la limite entre l’Indre-et-Loire et la Vienne 86 qui a pour prĂ©fecture Crozet a passĂ© une bonne partie de sa vie Ă  Poitiers oĂč il professait Ă  l’universitĂ©. En ce dimanche 10 juillet 1966, il observe toujours le ciel qui est trĂšs beau. Il note que, durant la matinĂ©e, il voit passer Ă  9h40 un Jodel jaune, Ă  12h un Cessna-Skymaster rouge et blanc et, Ă  13h, un avion Ă  rĂ©action qui laisse une traĂźnĂ©e la suite, je le cite Les Ormes Vers 14h30, des abords du chĂąteau de la Fontaine prĂšs de Saint-Sulpice, un Douglas DC-6 – ? – au-dessus, haut, ».Nous constatons donc qu’il arrive de Poitiers et qu’il est dans la Vienne. Meeting de Saint-RĂ©my-sur-Creuse – la Haye-Descartes AprĂšs avoir tournĂ© du cĂŽtĂ© des chĂąteaux vers les Ormes et St RĂ©my, je remonte au-delĂ  de ce village par la route de DangĂ© d’oĂč, presque malgrĂ© moi je m’engage par de petites routes qui montent sur le plateau. Devant moi et Ă  droite, un Jodel blanc et rouge monte au-dessus des bois et quand j’arrive aux mauvais chemins Ă  l’entrĂ©e desquels se trouvent gendarmes et contrĂŽleurs, c’est tout une voliĂšre qui dĂ©colle Ă  ma gauche vers moi, des Jodel de divers types et des Morane 880 Rallye. »Avec tous ces Ă©lĂ©ments, nous qui ne sommes pas du Centre de la France, nous cherchons un terrain d’aviation mais, comme dĂ©jĂ  expliquĂ© plus haut et sans avoir de terrain dĂ©clarĂ© sur notre site dans le 37 Descartes ou dans le 86 St-RĂ©my, nous avons rĂ©alisĂ© une observation minutieuse de toute cette zone et, grĂące aux photos anciennes de l’IGN, nous l’avons dĂ©couvert. Les clichĂ©s de GĂ©oportail commencent en 1945 et c’est en visualisant un clichĂ© de 1969 que cet aĂ©rodrome saute aux yeux car la photo est trĂšs – PhotothĂšque Nationale – ClichĂ© de juin 1969, mission fois, grĂące Ă  cette position, JĂ©rĂŽme Grosse retrouve sur la carte IGN le nom et les dĂ©tails de cet aĂ©rodrome IGN actuelle – PhotothĂšque se nomme donc les Six Chemins » et la base Les PlumassiĂšres ».Avec l’aide des notes de RenĂ© Crozet, rendons-nous au dit meeting. Vous allez voir que mĂȘme la description de cet Ă©vĂšnement est trĂšs vivante Je vais mettre ma voiture au parking au moment oĂč dĂ©colle un Super IV Wassmer qui rentre aussitĂŽt son train. Il vire Ă  gauche et au bout d’un tour atterrit. Long chemin Ă  pied dans des terres sĂšches et un chemin poussiĂ©reux. Le terrain est une longue piste bordĂ©e au sud par un petit bois. Au une ferme et je devine un hangar en retrait Ă  droite. Au un bois de pins. Au N. de vastes champs 
 Un Jodel dĂ©colle, rase assez longtemps et monte sec en virage Ă  gauche. Tous les dĂ©collages et atterrissages se font par le A mesure que je m’approche, j’entends et je suis les Ă©volutions d’un modĂšle rĂ©duit Ă  moteur nasillard. »Note Je pense que RenĂ© Crozet a fait une erreur sur l’axe de piste qui doit ĂȘtre nouveau, faisons appel aux photos de Remonter le temps » de 1959-06-03 photo en haut Ă  droite.La premiĂšre – en haut Ă  droite – date de juin 1959 et nous montre la trace d’une piste en seconde – en bas Ă  gauche – qui se trouve dans le coin d’un clichĂ© est de juin 1968, 2 ans aprĂšs le meeting qui nous intĂ©resse; cette fois, nous voyons une piste parfaitement au texte dĂ©crivant le meeting. Vous noterez qu’il y a toujours beaucoup de dĂ©tails dans les Ă©crits de RenĂ© Crozet Un Jodel arrive du va prendre le terrain par la ferme et se pose Ă  ma hauteur F-PKMD puis revient. Un autre F-BN
N BNIN peut-ĂȘtre dĂ©colle, puis un Morane Rallye bleu et orange F-BNBG puis un Jodel F-BLNS de l’AĂ©ro-Club de va ĂȘtre une ronde continue presque toute l’aprĂšs-midi. Je suis prĂšs des clĂŽtures N., les prises de terrain par le se font Ă  ma droite, les atterrissages et dĂ©collages Ă  ma hauteur, les avions qui atterrissent virant en bout de piste revenant et croisant ceux qui dĂ©collent. La plupart des circuits se font en virant Ă  gauche par le N., mais il ne manque pas d’avions qui vont tourner au loin sans doute vers la Haye-Descartes.» Au loin au N., un avion Ă  rĂ©action trace une trainĂ©e note d’observation.Toute une tribu de Jodel biplaces ou genre Mousquetaire ou Ambassadeur se dĂ©mĂšne, F-BKIY, BJHY, BMFY, BLNS. Il s’y mĂȘle le Super IV F-BKJG, bas sur roues. Atterrissages parfois rebondis car le terrain est dur !J’arrive au bout vers le parc d’avions organisĂ© devant le hangar. Il y a plusieurs Morane Rallye 880 dont le F-BKYY jaune, un Stampe, un Piper-Cub bleu, F-BHGG. »Photos et BKYJ note dans la marge. Album n° 5/ page 015 photo 1/ 1966-07-10/ Morane 880 Rallye BKYJ. PremiĂšre photo de l’album n°5, page 15 de RenĂ© Jodel, Piper-Cub, Morane 880 Rallye, Stampe et Jodel ».Album n° 5/ page 015 photo 1/ 1966-07-10/ Stampe la photo originale, on peut lire, sur le flanc gauche du Stampe, 01 avec une livrĂ©e particuliĂšre et, sur la dĂ©rive, CAVC. Je retourne vers l’emplacement oĂč j’assiste de prĂšs aux atterrissages et aux dĂ©collages. Le Piper-Cub dĂ©colle et vire sec Ă  droite emmenant un parachutiste. Un autre Super IV, F-BKJI atterrit court et repasse. Le modĂšle rĂ©duit a fait une trĂšs jolie sĂ©ance d’acrobaties tĂ©lĂ©commandĂ©es et a atterri trĂšs normalement. »Album n° 5/ page 015 photo3/ 1966-07-10/ Wa40 n°44 Wassmer Super IV F-BKJI, qui doit faire des baptĂȘmes.Photo RenĂ© Crozet. Du Piper-Cub descend un petit parachute lestĂ© pour repĂ©rer le vent. La ronde des baptĂȘmes continue. Brusquement du dĂ©bouche en piquĂ© un motoplaneur Fournier RF-3 que je prends d’abord pour un planeur. Passage, chandelle et renversement. Passage en sens inverse, jolie prise de terrain et atterrissage F-BLEY. »Toutes les photos ci-dessous sont de RenĂ© n° 5/ page 015 photo 4/ 1966-07-10/ RF-3 Ă  son n° 5/ page 016 photo 1/ 1966-07-10/ Para. Le Piper-Cub qui tournait trĂšs haut lĂąche son parachutiste Ă  l’ Longue chute libre. Ouverture du parachute blanc. Descente rĂ©guliĂšre. Il se pose juste devant un Jodel qui revenait d’atterrir et Ă  qui on a fait signe de stopper son Piper-Cub descend par le N. vire en glissade et se pose sur une continue de Rallye et Jodel. Le F-BKSO, Jodel Mousquetaire se prĂ©sente, reprend aussitĂŽt en virant sec Ă  gauche, boucle un tour par le N. revient et se vol du modĂšle rĂ©duit. Un AĂ©ro-Commander passe haut Ă  l’W., note d’observation.Le Fournier RF-3 dĂ©colle. Il va de concert avec le modĂšle rĂ©duit exĂ©cuter une trĂšs jolie sĂ©ance de voltige, loopings, renversements, tours de vrille avec l’aisance habituelle. Le modĂšle rĂ©duit s’en donne ce temps, du N. arrive un Mignet-Pou du Ciel qui tourne au large, prend le terrain et se pose. Il revient passer devant moi F-PLUJ. »Album n° 5/ page 015 photo 5/ 1966-07-10/ du Mignet. Cette photo montre le fauchage rĂ©cent du terrain pour ce n° 5/ page 016 photo 3/ 1966-07-10/ RF-3 en vol. Le RF-3 pique du passe bas en saluant des ailes, monte en chandelle, vire Ă  gauche et file au N. Le modĂšle rĂ©duit se pose assez un moment, Robbe, affublĂ© en pĂȘcheur de grenouilles se promĂšne sur le terrain. On l’interpelle selon le scĂ©nario habituel. Il monte dans le Piper-Cub soi-disant avec le moniteur. Evolutions au sol, puis, seul Ă  bord, il part, tourne plusieurs fois sur lui-mĂȘme, dĂ©colle de travers et commence une sĂ©ance serrĂ©e de cabrioles, parfois au ras des arbres d’en face, les jambes pendantes au ras de la perte de vitesse. Descente du S., il vire sec Ă  droite, se pose, danse d’une roue sur l’autre et s’arrĂȘte au bout d’un cheval de bois. »Album n° 5/ page 016 photo 5/ 1966-07-10/ La Haye-Descartes de Robbe qui offre un spectacle basĂ© sur le film de Fernandel AdemaĂŻ Aviateur ».Note de Patrick Vinot-PrĂ©fontaine du Trait d’Union. Le Mignet n° 51 F-PLUJ appartenait alors Ă  Guy Roy, basĂ© Ă  ChĂątellerault. À ce propos, il est impropre de parler de Pou-du-ciel », cette dĂ©nomination ne s’appliquant qu’aux et surtout »Album n° 5/ page 017 photo 4/ 1966-07-10/ Jodel. La ronde reprend. Un Morane Rallye jaune ayant virĂ© sec Ă  gauche, repasse bas et remonte en chandelle. Le Super IV F-BKJI se mĂȘle Ă  la Jodel F-BLNS dĂ©colle vire sec par le N. et avion courtaud, sans doute Beechcraft M-18, passe haut, au-dessus, puis un petit avion nasillard, rapide, qui semble avoir deux dĂ©rives. Il amorce 2 crochets et vole au N. – un Moynet-Jupiter ? » note d’observation.Album n° 5/ page 017 photo 6/ 1966-07-10/ 2 Stampe. Voici que deux Stampe – je n’en avais vu qu’un – viennent se placer. Ils s’écartent pour laisser passer un Morane Rallye bleu Ă  bouts d’ailes orange qui revient en roulant. CĂŽte Ă  cĂŽte, les deux Stampe dĂ©collent et montent aile Ă  aile. Virage Ă  droite par le S. et le et ils reviennent en piquant. Chandelle et Ă©clatement. Celui de gauche file. Celui de droite fait un tonneau en haut de la chandelle et reste seul. Il monte sagement, pique les tours de vrille serrĂ©s, remonte et poursuit une jolie sĂ©ance trĂšs souple loopings Ă  la suite, chandelles et renversements, tonneaux lents et souples, loopings inversĂ©s, tour de piste sur le dos. Au moment oĂč il est au S. le moteur cafouille, il pique en glissade Ă  droite et se pose devant moi F-BDNS
. C’est Robbe.»Album n° 5/ page 017 photo 5/ 1966-07-10/ Stampe. Je retourne vers le parc oĂč il y a, outre le Pou-Mignet, un autre, plus petit, rouge et m’en vais tout doucement en suivant les barriĂšres vers le parking. Un Super IV dĂ©colle. Un Jodel blanc et rouge se pose, roule et reste en panne au bout. Le Super IV atterrit, mais en bout de course il semble que la roue avant se dĂ©robe et l’hĂ©lice fait voler des mottes de terre. Pilote et passagers descendent. Il doit y avoir quelques dĂ©gĂąts. L’avion reste Ă  l’E., un avion commercial blanc passe note d’observation.Vers la ferme, un Morane Rallye jaune descend, reprend, vire sec 
 et vient tourner bas autour de moi. En mĂȘme temps un autre a dĂ©collĂ©, plonge aussitĂŽt et remonte en une chandelle audacieuse suivie d’un virage sur l’aile. Il replonge et remonte de mĂȘme. A la 3Ăšme fois il a accrochĂ© au sol la banderole publicitaire qui annonçait le meeting. Il la promĂšne en deux tours de piste bas qui le font passer sur moi, puis il la largue, remonte et va moment oĂč je m’en vais, le Morane Rallye jaune qui a dĂ©collĂ© vient virer bas de mon cĂŽtĂ©. »Album n° 5/ page 015 photo2/ 1966-07-10/ Morane 880 Rallye BKLM et aspect du meeting. A noter, le T » en tissu Ă  mĂȘme le sol. Photo RenĂ© Crozet.Revenons aux prĂ©occupations de l’association Anciens AĂ©rodromes. AprĂšs la description royale » de ce meeting, nous avons pris contact avec la municipalitĂ© de Saint-RĂ©my-sur-Creuse. De suite, nous nous sommes mis en relation avec la fille du propriĂ©taire de ce TERRAIN PRIVÉ, qui nous a confirmĂ© qu’en 1966 son pĂšre organisait sur son trĂšs long terrain » des meetings est considĂ©rĂ© comme aĂ©rodrome privĂ© avec une piste en herbe en tout dĂ©but d’exploitation avant de passer Ă  une piste en dur de 790m x 6m QFU 13-31. Le gestionnaire et propriĂ©taire de ce terrain se nomme Chicot Yannick. Son altitude est de 370 ft, soit environ 112 m. Un arroseur automatique de culture se trouve non loin, parallĂšlement Ă  l’aire d’ avoir pris contact avec la famille Chicot, nous avons su qu’en fait ce meeting du 10 juillet 1966 Ă©tait celui de l’inauguration du terrain. Un autre dĂ©tail l’acrobate aĂ©rien qui Ă©tait aussi instructeur se nomme Charles ROBE et non pas Robbe avec PVA 1-0/ 2011-03-21/ Zoom IGN datant de 2011 de la base » de cet aĂ©rodrome privĂ©. Vous noterez la prĂ©sence Ă  l’est et devant le hangar d’un avion de type continuant Ă  visualiser les albums photos de RenĂ© Crozet, on trouve une autre belle photo du terrain de la Haye-Descartes. Cette fois, c’est le samedi 13 aoĂ»t 1966 que RenĂ© Crozet bifurque par le terrain des 6 Chemins ». Il revenait de l’aĂ©rodrome de Dierre et, aprĂšs cette brĂšve visite Ă  St-RĂ©my, il passe par l’aĂ©rodrome de ChĂątellerault-TargĂ© puis termine sa journĂ©e Ă  fin de semaine n’était pas encore terminĂ©e car, le dimanche 14 aoĂ»t, il se rend sur l’aĂ©rodrome de Saint-Junien qu’il dĂ©couvre. Encore un beau rĂ©sumĂ© Ă©crit accompagnĂ© de photos de ce 19Ăšme Rassemblement des Constructeurs Amateurs. Voir l’aĂ©rodrome de St-Junien.Extrait du carnet n° 42, page Wassmer Super IV F-BKJG.Photo RenĂ© Crozet.Nous pensions avoir fait le tour des photos de cet aĂ©rodrome mais, en 1970, RenĂ© Crozet repasse de nouveau sur ce terrain privĂ© si septembre 1970 – Carnet de notes n°47 pages 138-139Pas besoin d’en dire plus. Merci Monsieur RenĂ© Crozet pour cette page de vie d’un petit aĂ©rodrome PRIVÉ que l’on appelait dans les annĂ©es 1960 La Haye-Descartes dans l’Indre-et-Loire » et que l’on appellera aujourd’hui St-RĂ©my-sur-Creuse dans la Vienne ».Jodel Mousquetaire F-BKSO et Piper-Aztec F-BNTS. Photo RenĂ© Crozet.–ooo–En complĂ©ment de cet article, car les rĂ©seaux marchent bien. C’est toujours trĂšs intĂ©ressant de communiquer sur certains dossiers Patrick Vinot-PrĂ©fontaine du Trait d’Union a fait parvenir les photos du Mignet HM 381 Ă  l’un de ses collĂšgues, Pierre Caillaud, qui est spĂ©cialiste de la construction amateur » et des de Pierre Caillaud du Merci beaucoup pour ces infos qui sont amusantes. Dommage pour eux, car j’aurais pu leur Ă©viter toutes ces recherches. En effet, Guy Roy est un vieux copain, que je n’ai pas revu depuis trĂšs longtemps. De mĂ©moire, c’était son 1er meeting. Il y avait effectivement 2 autres pou », le proto HM 360 dont j’ai Ă©crit l’histoire comme tu sais, et le HM 380 de Chauvigny pilotĂ© par Jacques Le Goubin. Il y avait aussi le 119 de Poitiers, bien entendu, je connaissais l’existence de ce meeting oĂč j’ai retrouvĂ© la date dans les carnets de vol des pou. Mais en revanche, c’est la 1Ăšre fois que je vois des photos de ce petit meeting de campagne, terrain qui n’est pas si loin d’ici. »Mignet HM 381.Coll. Patrick Vinot-PrĂ©fontaine.Patrick Vinot-PrĂ©fontaine trouve aussi la signification de CAVC Club AĂ©rien de la VallĂ©e du Cher, sur le terrain d’Amboise-Dierre 37. » que l’on trouve aujourd’hui sous le nom des Ailes Tourangelles. De plus il nous a rĂ©alisĂ© un tableau nous donnant des renseignements les numĂ©ros des avions et sur les propriĂ©taires des avions prĂ©sents ce jour-lĂ .
Eneffet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de Word Lanes Terrain oĂč les avions dĂ©collent et atterrissent. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă  trouver Ă  partir de leurs dĂ©finitions. Nous avons trouvĂ© les rĂ©ponses Ă 
Pour ajouter Ă  ce qui a Ă©tĂ© dit, le vent est rarement "parfaitement" parallĂšle Ă  la piste donc tu atterris presque tout le temps en crabe mĂȘme avec peu de vent, c'est juste plus ou moins visible selon si le vent est parfaitement de face ou pas et selon la vitesse du vent par exemple, un vent presque parfaitement parallĂšle Ă  la piste, s'il est trĂšs fort, te fera quand mĂȘme atterrir assez fortement en crabe. Aussi, le vent en rĂ©alitĂ© n'est jamais constant et varie autour d'une direction principale, tu peux le sentir dehors, le vent te frappe pas toujours avec la mĂȘme intensitĂ© et pas toujours au mĂȘme endroit sur toi mais en restant assez longtemps, tu peux estimer sa force et sa direction principale ^^En gros, dĂšs qu'il y a du vent, tu choisis la piste qui fait le plus face au vent et tu atterris que ce soit en crabe ou pas, c'est toujours atterrir. LĂ  oĂč ça devient chaud c'est quand les conditions mĂ©tĂ©o font que ça commence Ă  ĂȘtre trop en crabe. LĂ  aprĂšs il y a plusieurs techniques pour atterrir mais il n'y a pas Ă  informer l'ATC qu'on atterrit en crabe ou pas c'est comme quand tu gares ta voiture, tu prĂ©viens personne de comment tu vas la garer c'est juste une technique comme une autre. Message Ă©ditĂ© le 24 aoĂ»t 2020 Ă  014213 par flpisa Zq5BT.